Daloa (AIP) – L’arrêt de travail de cinq jours décidé par la coordination des Syndicats des personnels soignants du secteur public est largement suivi dans la région du Haut Sassandra, où l’ensemble des établissements sanitaires est paralysé depuis lundi.
Selon le Dr N’guetta Olivier, directeur départemental de la santé et de la Lutte contre le Sida, le service minimum est assuré uniquement dans les unités des urgences médicales, chirurgicales, pédiatriques et obstétricales du CHR, ainsi qu’au centre de transfusion sanguine (CNTS) de Daloa et à l’hôpital général de Zoukougbeu, conformément à la volonté des grévistes.
Par contre, les malades qui ne sont pas dans des situations d’urgence sont orientés vers les hôpitaux confessionnels et l’AIBEF, en ce qui concerne les patients de Daloa. Tandis que ceux qui sont dans le milieu rural ou hors des chefs-lieux de département devront prendre leur mal en patience, durant toute la période de la grève.
La coordination des 14 Syndicats des personnels soignants co-signataires du mot d’ordre de grève, revendique entre autres points, le paiement intégral à partir de janvier 2013, des indemnités de risque sanitaire et de revalorisation d’indemnités, d’un montant de 62.500 FCFA, pour les cadres supérieurs de la santé, 25.000 FCFA pour le personnel technique de la santé du grade A3, 20.000 FCFA pour le personnel technique de la santé du grade B3, 15.000 FCFA. cfa pour le personnel technique de la santé du grade C3, afin d’arrêter le cycle des arriérés.
Les grévistes réclament aussi le paiement intégral en 2013, des 67 mois d’arriérés accumulés de mai 2007 à décembre 2012 sur les émoluments des praticiens hospitaliers et enseignants cadres supérieurs de la santé ; le paiement intégral à partir de janvier 2013, des 400 points d’indice (soit 118.598 f. cfa) aux cadres supérieurs de la santé et de 150 points d’indice (soit 44.474 FCFA) au personnel technique de la santé..
(AIP)
yy/cmas
Selon le Dr N’guetta Olivier, directeur départemental de la santé et de la Lutte contre le Sida, le service minimum est assuré uniquement dans les unités des urgences médicales, chirurgicales, pédiatriques et obstétricales du CHR, ainsi qu’au centre de transfusion sanguine (CNTS) de Daloa et à l’hôpital général de Zoukougbeu, conformément à la volonté des grévistes.
Par contre, les malades qui ne sont pas dans des situations d’urgence sont orientés vers les hôpitaux confessionnels et l’AIBEF, en ce qui concerne les patients de Daloa. Tandis que ceux qui sont dans le milieu rural ou hors des chefs-lieux de département devront prendre leur mal en patience, durant toute la période de la grève.
La coordination des 14 Syndicats des personnels soignants co-signataires du mot d’ordre de grève, revendique entre autres points, le paiement intégral à partir de janvier 2013, des indemnités de risque sanitaire et de revalorisation d’indemnités, d’un montant de 62.500 FCFA, pour les cadres supérieurs de la santé, 25.000 FCFA pour le personnel technique de la santé du grade A3, 20.000 FCFA pour le personnel technique de la santé du grade B3, 15.000 FCFA. cfa pour le personnel technique de la santé du grade C3, afin d’arrêter le cycle des arriérés.
Les grévistes réclament aussi le paiement intégral en 2013, des 67 mois d’arriérés accumulés de mai 2007 à décembre 2012 sur les émoluments des praticiens hospitaliers et enseignants cadres supérieurs de la santé ; le paiement intégral à partir de janvier 2013, des 400 points d’indice (soit 118.598 f. cfa) aux cadres supérieurs de la santé et de 150 points d’indice (soit 44.474 FCFA) au personnel technique de la santé..
(AIP)
yy/cmas