Au lendemain de l'élimination des Eléphants de la CAN 2013, la frénésie des explications accusatives laisse libre cours à la publication d'informations les plus fantaisistes. Comme celle du refus de visite de M. Jacques Anouma aux Eléphants de Côte d'Ivoire.
Un de nos confrères, Star magazine, a cru livrer à ses lecteurs dans sa parution du mercredi 6 février 2013, le scoop selon lequel l'ambassadeur Jacques Anouma, ancien président de Fédération ivoirienne de football, FIF, aurait été interdit de rencontrer les Eléphants avant leur match des quarts de finales contre le Nigéria. Citant une source en Afrique du Sud, le confrère indique que l'ex-président de la Fédération Ivoirienne de Football qui était en Afrique du Sud pour soutenir les Eléphants n'est pas du tout content des responsables de la FIF (sic). Les raisons de cette colère sont rapportées par la mystérieuse source : « Le comble de l'humiliation pour lui, c'est que Jacques Anouma a émis le vœux de rendre visite aux Eléphants à leur hôtel, leur dire quelques mots de réconfort avant le match contre le Nigeria, mais ses désirs n'ont pas été exaucés. Là aussi, il a été royalement ignoré par les dirigeants de la FIF (…) ». Il apparait évident que pour un incident qui paraît aussi sérieux, au regard de la qualité des personnes concernées, il aurait été judicieux, indique une source de fédérale (FIF) de confronter la « vérité » de la source à l'authenticité des faits en investiguant du côté de la Fédération ou de M. Jacques Anouma lui-même. Cette démarche aurait permis de savoir que la présence de M. Jacques Anouma à la CAN 2013 est tributaire de sa qualité de Membre du Comité Exécutif de la FIFA et de la CAF. Et qu'en outre, à aucun moment, les dirigeants de la FIF ne lui ont interdit l'accès aux Eléphants puisqu'il n'en a pas fait la demande. Mieux, pour le match concerné, M. Jacques Anouma était absent du territoire sud-africain. Cependant, une question demeure, pourquoi cherche-t-on forcément à créer la zizanie entre M. Anouma et le président de la Fédération ivoirienne de football, M. Sidy Diallo ?
MAURYTH GBANE
Un de nos confrères, Star magazine, a cru livrer à ses lecteurs dans sa parution du mercredi 6 février 2013, le scoop selon lequel l'ambassadeur Jacques Anouma, ancien président de Fédération ivoirienne de football, FIF, aurait été interdit de rencontrer les Eléphants avant leur match des quarts de finales contre le Nigéria. Citant une source en Afrique du Sud, le confrère indique que l'ex-président de la Fédération Ivoirienne de Football qui était en Afrique du Sud pour soutenir les Eléphants n'est pas du tout content des responsables de la FIF (sic). Les raisons de cette colère sont rapportées par la mystérieuse source : « Le comble de l'humiliation pour lui, c'est que Jacques Anouma a émis le vœux de rendre visite aux Eléphants à leur hôtel, leur dire quelques mots de réconfort avant le match contre le Nigeria, mais ses désirs n'ont pas été exaucés. Là aussi, il a été royalement ignoré par les dirigeants de la FIF (…) ». Il apparait évident que pour un incident qui paraît aussi sérieux, au regard de la qualité des personnes concernées, il aurait été judicieux, indique une source de fédérale (FIF) de confronter la « vérité » de la source à l'authenticité des faits en investiguant du côté de la Fédération ou de M. Jacques Anouma lui-même. Cette démarche aurait permis de savoir que la présence de M. Jacques Anouma à la CAN 2013 est tributaire de sa qualité de Membre du Comité Exécutif de la FIFA et de la CAF. Et qu'en outre, à aucun moment, les dirigeants de la FIF ne lui ont interdit l'accès aux Eléphants puisqu'il n'en a pas fait la demande. Mieux, pour le match concerné, M. Jacques Anouma était absent du territoire sud-africain. Cependant, une question demeure, pourquoi cherche-t-on forcément à créer la zizanie entre M. Anouma et le président de la Fédération ivoirienne de football, M. Sidy Diallo ?
MAURYTH GBANE