Votre Excellence,
Nous, Travailleurs de l’ex-Trituraf de Bouaké, avons choisi le canal des organes de presse pour nous adresser a vous. Vous conviendrez avec nous qu’il n’est pas aise d’obtenir une audience, donc veuillez nous excuser.
Nous avons choisi de vous parler directement a travers cette lettre ouverte car nous n’avons plus de voie de recours face a la flagrante injustice dont nous sommes victimes. Notre seul tort, vouloir travailler pour la reconstruction économique de notre pays qui se remet sous votre houlette de plusieurs années de crise. Bouaké a été une grande victime de la crise que le pays a connue.
Les faits sont simples Excellence Monsieur le President. Un repreneur sans moyens financiers, en l’occurrence, Olheol SA, de M.Charles Alexandre Keita, a élu domicile depuis 2009 sur le site de l’usine Trituraf au terme d’une opération politique floue.
Depuis donc quatre ans, cette structure dont l’existence légale est sujette a caution peine a faire redémarrer notre source de vie.
Nonobstant cette incapacité de fait, le liquidateur et le juge-commissaire en charge de la liquidation maintiennent a travers des conventions qui font injure au bon sens, cette entreprise sans le sou, sur le site de Trituraf, empêchant du coup d’autres soumissionnaires nous remettre aux travail. Pourtant, le pays a besoin de ce travail vivifiant, nous avons besoin de ce travail qui nous donne de la Dignité et Bouaké en a besoin pour sa reconstruction.
Lors de votre passage a Bouaké, vous nous aviez promis des emplois, la remise en marche des unités industrielles de cette ville sinistrée. C’était en Novembre 2010 pendant la campagne pour le deuxième tour de la Présidentielle. Vous avez, Excellence Monsieur le Président, réaffirmé votre farouche volonté de créer des emplois. Néanmoins, nous disons qu’il faudrait l’existant.
Nous avons été licenciées alors que nous ne travaillons pas.
Excellence Monsieur le Président,
Vouloir travailler pour donner un peu de joie a sa progéniture n’a rien de méchant nous croyons, car, nous avons foi en votre ambitieux programme de société pour lequel nous avons tous accordé nos suffrages. Mais, Olheol SA qui n’a aucun centime, s’évertue a nous tuer a petit feu avec la complicité de certaines personnalités politiques et administratives.
Nous avons opté pour le bras de fer avec ces aventuriers économiques qui songent plus a leurs intérêts qu’a ceux des travailleurs que nous sommes et bien entendu, a ceux de la Cote d’Ivoire.
Excellence Monsieur le Président,
Nous appelons plus qu’à votre implication dans ce dossier qui nous met aux prises avec un de vos ministres, des juges qui ont jurée d’avoir notre peau, un liquidateur qui fait des pieds et des mains pour maintenir Olheol sur le site de Trituraf.
Nous, vos sœurs, vos frères et parents de cette usine qui a fait la fierté de la Cote d’Ivoire vous lance ce cri de cœur. Monsieur le Président, des autorités veulent nous tuer. Nous savons que nous ne sommes pas orphelins car vous êtes le Père de Tous les Ivoiriens et surtout épris de Justice et engagez a sauvegarder les emplois.
Tout en esperant que notre cri de cœur ait l’effet escomptee, Excellence Monsieur le President, veuillez croire en notre profond respect.
Le Collectif des Travailleurs de l’ex-Trituraf
Nous, Travailleurs de l’ex-Trituraf de Bouaké, avons choisi le canal des organes de presse pour nous adresser a vous. Vous conviendrez avec nous qu’il n’est pas aise d’obtenir une audience, donc veuillez nous excuser.
Nous avons choisi de vous parler directement a travers cette lettre ouverte car nous n’avons plus de voie de recours face a la flagrante injustice dont nous sommes victimes. Notre seul tort, vouloir travailler pour la reconstruction économique de notre pays qui se remet sous votre houlette de plusieurs années de crise. Bouaké a été une grande victime de la crise que le pays a connue.
Les faits sont simples Excellence Monsieur le President. Un repreneur sans moyens financiers, en l’occurrence, Olheol SA, de M.Charles Alexandre Keita, a élu domicile depuis 2009 sur le site de l’usine Trituraf au terme d’une opération politique floue.
Depuis donc quatre ans, cette structure dont l’existence légale est sujette a caution peine a faire redémarrer notre source de vie.
Nonobstant cette incapacité de fait, le liquidateur et le juge-commissaire en charge de la liquidation maintiennent a travers des conventions qui font injure au bon sens, cette entreprise sans le sou, sur le site de Trituraf, empêchant du coup d’autres soumissionnaires nous remettre aux travail. Pourtant, le pays a besoin de ce travail vivifiant, nous avons besoin de ce travail qui nous donne de la Dignité et Bouaké en a besoin pour sa reconstruction.
Lors de votre passage a Bouaké, vous nous aviez promis des emplois, la remise en marche des unités industrielles de cette ville sinistrée. C’était en Novembre 2010 pendant la campagne pour le deuxième tour de la Présidentielle. Vous avez, Excellence Monsieur le Président, réaffirmé votre farouche volonté de créer des emplois. Néanmoins, nous disons qu’il faudrait l’existant.
Nous avons été licenciées alors que nous ne travaillons pas.
Excellence Monsieur le Président,
Vouloir travailler pour donner un peu de joie a sa progéniture n’a rien de méchant nous croyons, car, nous avons foi en votre ambitieux programme de société pour lequel nous avons tous accordé nos suffrages. Mais, Olheol SA qui n’a aucun centime, s’évertue a nous tuer a petit feu avec la complicité de certaines personnalités politiques et administratives.
Nous avons opté pour le bras de fer avec ces aventuriers économiques qui songent plus a leurs intérêts qu’a ceux des travailleurs que nous sommes et bien entendu, a ceux de la Cote d’Ivoire.
Excellence Monsieur le Président,
Nous appelons plus qu’à votre implication dans ce dossier qui nous met aux prises avec un de vos ministres, des juges qui ont jurée d’avoir notre peau, un liquidateur qui fait des pieds et des mains pour maintenir Olheol sur le site de Trituraf.
Nous, vos sœurs, vos frères et parents de cette usine qui a fait la fierté de la Cote d’Ivoire vous lance ce cri de cœur. Monsieur le Président, des autorités veulent nous tuer. Nous savons que nous ne sommes pas orphelins car vous êtes le Père de Tous les Ivoiriens et surtout épris de Justice et engagez a sauvegarder les emplois.
Tout en esperant que notre cri de cœur ait l’effet escomptee, Excellence Monsieur le President, veuillez croire en notre profond respect.
Le Collectif des Travailleurs de l’ex-Trituraf