A l’initiative du groupe Fraternité-Matin, s’est tenu le 11 Février 2013, à l’hôtel Ivoire, une conférence-débat pour dresser le bilan de l’intégration dans l’espace CEDEAO.
Passer de la CEDEAO des Etats à la CEDEAO des peuples d’ici 2020, c’est l’objectif majeur de l’organisation. Mais pour y arriver, plusieurs défis restent à relever. L’intégration économique, selon le Professeur Bamba N’galadjo, passe par un secteur privé régional fort mais aussi par la levée des barrières d’une frontière à une autre. C’est pourquoi, il a contribué à l’élaboration du Programme ivoirien Commercial d’Afrique de l’Ouest (PICAO). Outre ce défi, la question du financement des projets d’infrastructures semble être un des éléments catalyseurs de l’intégration économique sous-régionale. «Il nous faut absolument avoir en Afrique de l’ouest, un secteur privé compétent qui prend ses responsabilités, qui prend des risques. Il y a également le financement des projets d’infrastructures ainsi que le renforcement des capacités», a indiqué entre autres, Gérard Amangoua, secrétaire général de l’APEX-CI. C’est à ce niveau, poursuit-il, que le NEPAD Business-groupe doit jouer un rôle dans le processus d’opérationnalisation des activités du secteur privé. «Le constat, c’est que la CEDEAO est un espace où l’on a commencé depuis une dizaine d’années ou une quinzaine d’années, un processus d’intégration qui est en marche. C’est vrai qu’il y a de petites défaillances mais c’est un processus qui est en marche. Il faut plutôt voir la vision 2020. A ce niveau, des objectifs pourront être atteints si nous axons nos efforts sur cette problématique», a commenté Gérard Amangoua. En ce qui concerne les infrastructures, note-il, la CEDEAO intègre même certaines régions d’Afrique. Quant à la zone de libre échange, pense le professeur Bamba N’galadjo, la CEDEAO a déjà franchi un pas et semble avoir une longueur d’avance sous d’autres blocs sous-régionaux. Toutefois, beaucoup reste à faire pour l’effectivité de la citoyenneté CEDEAO.
K.H
Passer de la CEDEAO des Etats à la CEDEAO des peuples d’ici 2020, c’est l’objectif majeur de l’organisation. Mais pour y arriver, plusieurs défis restent à relever. L’intégration économique, selon le Professeur Bamba N’galadjo, passe par un secteur privé régional fort mais aussi par la levée des barrières d’une frontière à une autre. C’est pourquoi, il a contribué à l’élaboration du Programme ivoirien Commercial d’Afrique de l’Ouest (PICAO). Outre ce défi, la question du financement des projets d’infrastructures semble être un des éléments catalyseurs de l’intégration économique sous-régionale. «Il nous faut absolument avoir en Afrique de l’ouest, un secteur privé compétent qui prend ses responsabilités, qui prend des risques. Il y a également le financement des projets d’infrastructures ainsi que le renforcement des capacités», a indiqué entre autres, Gérard Amangoua, secrétaire général de l’APEX-CI. C’est à ce niveau, poursuit-il, que le NEPAD Business-groupe doit jouer un rôle dans le processus d’opérationnalisation des activités du secteur privé. «Le constat, c’est que la CEDEAO est un espace où l’on a commencé depuis une dizaine d’années ou une quinzaine d’années, un processus d’intégration qui est en marche. C’est vrai qu’il y a de petites défaillances mais c’est un processus qui est en marche. Il faut plutôt voir la vision 2020. A ce niveau, des objectifs pourront être atteints si nous axons nos efforts sur cette problématique», a commenté Gérard Amangoua. En ce qui concerne les infrastructures, note-il, la CEDEAO intègre même certaines régions d’Afrique. Quant à la zone de libre échange, pense le professeur Bamba N’galadjo, la CEDEAO a déjà franchi un pas et semble avoir une longueur d’avance sous d’autres blocs sous-régionaux. Toutefois, beaucoup reste à faire pour l’effectivité de la citoyenneté CEDEAO.
K.H
