Abidjan - Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) ne participera pas aux élections municipales et régionales du 21 avril, estimant que cette date a été fixée par le pouvoir de façon unilatérale, selon son porte-parole Kodjo Richard.
Initialement prévues le 21 février, les élections locales (municipales et régionales) ont été reportées par le gouvernement pour faire aboutir les négociations avec le FPI, parti de l’ancien président, Laurent Gbagbo, en vue de sa participation à ces scrutins ainsi que celle des autres formations de l’opposition.
La raison officielle avancée pour ce nouveau boycott après celui des législatives de décembre 2011, selon le porte-parole du FPI Richard Kodjo, serait que le gouvernement a fixé la date du 21 avril de façon unilatérale.
Toutefois, M. Kodjo soutient que le FPI est prêt à revoir ‘’sa position si le scrutin venait à être reporté’’.
L’ex-parti au pouvoir conditionne sa participation à ces élections locales à la satisfaction de quelques préalables comme l’adoption d’une loi d’amnistie et la mise sur pied d’une nouvelle commission électorale indépendante.
Initialement prévues le 21 février, les élections locales (municipales et régionales) ont été reportées par le gouvernement pour faire aboutir les négociations avec le FPI, parti de l’ancien président, Laurent Gbagbo, en vue de sa participation à ces scrutins ainsi que celle des autres formations de l’opposition.
La raison officielle avancée pour ce nouveau boycott après celui des législatives de décembre 2011, selon le porte-parole du FPI Richard Kodjo, serait que le gouvernement a fixé la date du 21 avril de façon unilatérale.
Toutefois, M. Kodjo soutient que le FPI est prêt à revoir ‘’sa position si le scrutin venait à être reporté’’.
L’ex-parti au pouvoir conditionne sa participation à ces élections locales à la satisfaction de quelques préalables comme l’adoption d’une loi d’amnistie et la mise sur pied d’une nouvelle commission électorale indépendante.