Adzopé - Un incident survenu dimanche entre un soldat des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et des jeunes d’Afféry, dans la sous-préfecture d’Akoupé (est, région de la Mé) a entrainé la mort par balle perdue du jeune Thierry Ohouo.
Selon les informations recueillies par l’AIP, un élément des FRCI (dont l’identité n’a pas été révélée) s’est rendu dimanche, dans la matinée dans, un salon pour se faire couper les cheveux.
Au salon de coiffure, il aurait exigé à un client de lui céder le siège. Ce que ce dernier aurait refusé. Il s’en suit donc une dispute qui a alerté une foule qui a accouru vers le salon.
Le soldat qui aurait tenté de disperser cette foule par son arme, a été désarmé et son arme remise au responsable local des FRCI.
Mais, ce dernier a appelé du renfort venu d’Akoupé qui, par des tirs de sommation, a dispersé la foule en atteignant mortellement un jeune revenant du champ et faisant de nombreux blessés.
Les soldats de l’ONUCI et les gendarmes ont vite quadrillé la ville pour circonscrire la colère des populations.
Informé, le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, s’est rendu à Afféry où la tension reste toujours vive.
En attendant les résultats d’une enquête ouverte pour situer les responsabilités, le présumé tueur est aux mains de la police.
(AIP)
Go/isk/kp
(AIP)
Selon les informations recueillies par l’AIP, un élément des FRCI (dont l’identité n’a pas été révélée) s’est rendu dimanche, dans la matinée dans, un salon pour se faire couper les cheveux.
Au salon de coiffure, il aurait exigé à un client de lui céder le siège. Ce que ce dernier aurait refusé. Il s’en suit donc une dispute qui a alerté une foule qui a accouru vers le salon.
Le soldat qui aurait tenté de disperser cette foule par son arme, a été désarmé et son arme remise au responsable local des FRCI.
Mais, ce dernier a appelé du renfort venu d’Akoupé qui, par des tirs de sommation, a dispersé la foule en atteignant mortellement un jeune revenant du champ et faisant de nombreux blessés.
Les soldats de l’ONUCI et les gendarmes ont vite quadrillé la ville pour circonscrire la colère des populations.
Informé, le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, s’est rendu à Afféry où la tension reste toujours vive.
En attendant les résultats d’une enquête ouverte pour situer les responsabilités, le présumé tueur est aux mains de la police.
(AIP)
Go/isk/kp
(AIP)