Man – Un séminaire de réflexion sur l’implication des populations locales dans la réussite du processus de réconciliation nationale en Côte d’Ivoire s’est ouvert mercredi à Man à l’initiative de l’ONG américaine "National Democratic Institute" (NDI).
Cette rencontre qui réunit leaders communautaires et religieux, société civile et autorités administratives de Man vise notamment à sensibiliser sur l’importance de leur implication effective dans la réconciliation.
Il s’agira également d’identifier les obstacles et besoins de la réconciliation, spécifiques à la région du Tonkpi, en vue de faire des recommandations concrètes aux dirigeants ivoiriens pour faire avancer le processus.
Le démarrage de l’atelier a été marqué par une conférence inaugurale sur l’importance de l’implication des populations dans la réconciliation dite par la présidente du centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI), Nathalie Koné Traoré.
Elle a expliqué aux participants que la stabilité d’un pays repose sur l’existence d’institutions fortes.
Selon Mme Traoré, les institutions ne sont fortes que lorsqu’elles sont animées par des nationaux compétents et respectées, par-dessus tout, par les populations.
"Les populations doivent comprendre qu’en respectant les autorités, elles se respectent elles-mêmes. Du coup, cela préserve des conflits. Préserver la chose publique, c’est important", a affirmé Nathalie Koné Traoré.
En début d’après-midi, les participants se constitueront en deux ateliers sur le diagnostic et les besoins de la réconciliation dans la région du Tonkpi et sur les recommandations à l’endroit des dirigeants nationaux.
La rencontre de Man est la première d’une série qui amènera les organisateurs du NDI à Bouaké et à Gagnoa.
Ces séances de travail se tiennent en prélude aux consultations nationales de la Commission Dialogue-vérité-réconciliation (CDVR), a-t-on appris.
(AIP)
Gso/kp
(AIP)
Cette rencontre qui réunit leaders communautaires et religieux, société civile et autorités administratives de Man vise notamment à sensibiliser sur l’importance de leur implication effective dans la réconciliation.
Il s’agira également d’identifier les obstacles et besoins de la réconciliation, spécifiques à la région du Tonkpi, en vue de faire des recommandations concrètes aux dirigeants ivoiriens pour faire avancer le processus.
Le démarrage de l’atelier a été marqué par une conférence inaugurale sur l’importance de l’implication des populations dans la réconciliation dite par la présidente du centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI), Nathalie Koné Traoré.
Elle a expliqué aux participants que la stabilité d’un pays repose sur l’existence d’institutions fortes.
Selon Mme Traoré, les institutions ne sont fortes que lorsqu’elles sont animées par des nationaux compétents et respectées, par-dessus tout, par les populations.
"Les populations doivent comprendre qu’en respectant les autorités, elles se respectent elles-mêmes. Du coup, cela préserve des conflits. Préserver la chose publique, c’est important", a affirmé Nathalie Koné Traoré.
En début d’après-midi, les participants se constitueront en deux ateliers sur le diagnostic et les besoins de la réconciliation dans la région du Tonkpi et sur les recommandations à l’endroit des dirigeants nationaux.
La rencontre de Man est la première d’une série qui amènera les organisateurs du NDI à Bouaké et à Gagnoa.
Ces séances de travail se tiennent en prélude aux consultations nationales de la Commission Dialogue-vérité-réconciliation (CDVR), a-t-on appris.
(AIP)
Gso/kp
(AIP)