Clap sur la 23è édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (Fespaco). Cette énième édition est placée sous le signe de l’autre moitié du ciel. C’était le samedi 23 février 2013 au stade du 4 août dans la capitale burkinabè lors de la cérémonie d’ouverture du festival. Le Premier ministre du Burkina Faso, Luc Adolphe Tiao, représentant le Président de la République Blaise Compaoré a donné le clap symbolisant l’ouverture de la 23è édition.
A l’ouverture de cette énième édition, M. Baba Hama, ministre de la Culture et du Tourisme du Burkina Faso a profité pour rendre un hommage aux invités d’honneur, surtout les femmes avec à leur tête Alimata Salambéré, membre fondateur du Fespaco. Il avait à ses côtés, la marraine, la Première Dame du pays des hommes intègres, Mme Chantal Compaoré et Mme Sylvia Bongo Odimba, Première Dame du Gabon, pays invité d’honneur du festival. Pour l’épouse du chef de l’Etat gabonais, la présence à la 23è édition de Fespaco, est un devoir de reconnaissance en la mémoire d’un des leurs, le cinéaste gabonais disparu Charles Mensah. En tant que rendez-vous d’expression du savoir, savoir-faire et savoir-être, la 23è édition du Fespaco a eu pour thème : «Cinéma africain et politique publique en Afrique». Pour le ministre Baba Hama, cela doit interpeller les décideurs africains pour le développement du 7è art sur le continent. Quant à Simon Compaoré, maire de la ville de Ouagadougou, il s’est réjoui que le Fespaco ait fait, depuis 1969, de sa cité, une ville de notoriété, c’est-à-dire une cité aux énergies créatrices.
Les consommateurs du cinéma étaient là
Le stade qui a fait son plein au 2/3, a été animé avec les prestations d’artistes dont Sana Bob, Greg, le Nigérian Flavour (invité). Le spectacle d’ouverture a été l’œuvre du chorégraphe burkinabè Seydou Boro. Il a présenté Wakatt qui, en langue Mooré, signifie le temps. Sa chorégraphie qui met au centre une «jeunesse consciente», Seydou Boro a mis en mouvement les élèves du Lycée Philippe Zinda Kaboré (figurants) et ceux du Centre d’Enseignement Technique féminin, les grandes personnes (marionnette) de Boromo. A la chorégraphie se mêlaient le jeu des Dervichs tourneurs du Bénin et les voix des Bororo du Niger, etc. Aux sons de percussions et de chants, la chorégraphie jouée entre danse contemporaine (salsa) et traditionnelle (Gourounsi, warba) avec des danseurs au style afro a été bien appréciée du public. Les feux d’artifices qui ont éclairé le ciel de Ouaga ont mis fin à la cérémonie d’ouverture.
Koné Saydoo depuis Ouagadougou
A l’ouverture de cette énième édition, M. Baba Hama, ministre de la Culture et du Tourisme du Burkina Faso a profité pour rendre un hommage aux invités d’honneur, surtout les femmes avec à leur tête Alimata Salambéré, membre fondateur du Fespaco. Il avait à ses côtés, la marraine, la Première Dame du pays des hommes intègres, Mme Chantal Compaoré et Mme Sylvia Bongo Odimba, Première Dame du Gabon, pays invité d’honneur du festival. Pour l’épouse du chef de l’Etat gabonais, la présence à la 23è édition de Fespaco, est un devoir de reconnaissance en la mémoire d’un des leurs, le cinéaste gabonais disparu Charles Mensah. En tant que rendez-vous d’expression du savoir, savoir-faire et savoir-être, la 23è édition du Fespaco a eu pour thème : «Cinéma africain et politique publique en Afrique». Pour le ministre Baba Hama, cela doit interpeller les décideurs africains pour le développement du 7è art sur le continent. Quant à Simon Compaoré, maire de la ville de Ouagadougou, il s’est réjoui que le Fespaco ait fait, depuis 1969, de sa cité, une ville de notoriété, c’est-à-dire une cité aux énergies créatrices.
Les consommateurs du cinéma étaient là
Le stade qui a fait son plein au 2/3, a été animé avec les prestations d’artistes dont Sana Bob, Greg, le Nigérian Flavour (invité). Le spectacle d’ouverture a été l’œuvre du chorégraphe burkinabè Seydou Boro. Il a présenté Wakatt qui, en langue Mooré, signifie le temps. Sa chorégraphie qui met au centre une «jeunesse consciente», Seydou Boro a mis en mouvement les élèves du Lycée Philippe Zinda Kaboré (figurants) et ceux du Centre d’Enseignement Technique féminin, les grandes personnes (marionnette) de Boromo. A la chorégraphie se mêlaient le jeu des Dervichs tourneurs du Bénin et les voix des Bororo du Niger, etc. Aux sons de percussions et de chants, la chorégraphie jouée entre danse contemporaine (salsa) et traditionnelle (Gourounsi, warba) avec des danseurs au style afro a été bien appréciée du public. Les feux d’artifices qui ont éclairé le ciel de Ouaga ont mis fin à la cérémonie d’ouverture.
Koné Saydoo depuis Ouagadougou