Bouaké - Un chèque d’un montant de 100 millions FCFA a été remis aux femmes de la région de Gbèkè, mardi à l’occasion de la cérémonie de lancement du Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI), mis en place en décembre par la Première dame, Dominique Ouattara.
Le chèque a été réceptionné lors d'une cérémonie tenue en présence du sous-préfet de Brobo, Djandé Lorng, représentant le préfet de la région de Gbèkè, Konin Aka.
Les bénéficiaires du projet FAF-CI sont les femmes de nationalité ivoirienne, âgées de 21 au moins, non salariées. Quelque 11.500 d'entre elles sont à ce jour inscrites à la COOPEC de Bouaké, dont les 100 premières ont été déjà formées deux jours durant, aux notions de coopération et de gestion.
"Les femmes qui ne seront pas assidues à la formation, seront éliminée", a prévenu le président du conseil d’administration de la COOPEC, Moustapha Diarrassouba. Il a expliqué qu’après la formation, suivra un montage de dossier de crédit sans frais à payer ni d’épargne à faire.
"Le Fonds n’est pas gratuit, c’est bien un crédit avec un taux de remboursement de un pour cent par mois", a fait savoir Moustapha Diarrassouba.
Le directeur régional de la COOPEC Centre-est, Yaya Dagnogo a fait remarquer qu’à travers les femmes, ce sont toutes les familles de la Côte d’Ivoire qui seront épanouies. Il a encouragé les premières bénéficiaires à une gestion saine du fonds pour permettre à des millions d’autres femmes qui attendent ,d’en profiter à leur tour.
M. Dagnogo a rappelé que le FAFCI, pour cette première tranche, est estimé à un milliard FCFA pour toute la Côte d’Ivoire et pourrait être revue à hausse pour atteindre jusqu’à cinq milliards FCFA en 2014, si le premier milliard est convenablement remboursé. "Le Fonds sera plus bénéfique aux régions qui se seront illustrées comme les meilleures payeurs", a-t-il ajouté.
Le sous-préfet de Brobo, Djandé Lorng a pour sa part encouragé les femmes à fructifier les crédits obtenus pour sortir de la pauvreté. Il les a également exhortées à faire un bon remboursement pour traduire à la Première dame leur dignité.
La représentante des femmes, Mme Yao a traduit toute sa reconnaissance à la Première dame qui vient par le projet FAFCI rétablir la dignité des femmes de Bouaké, après dix ans de souffrance. Aussi, a-t-elle pris l’engagement de travailler de sorte à sortir les femmes de leur précarité.
nam/cmas
Le chèque a été réceptionné lors d'une cérémonie tenue en présence du sous-préfet de Brobo, Djandé Lorng, représentant le préfet de la région de Gbèkè, Konin Aka.
Les bénéficiaires du projet FAF-CI sont les femmes de nationalité ivoirienne, âgées de 21 au moins, non salariées. Quelque 11.500 d'entre elles sont à ce jour inscrites à la COOPEC de Bouaké, dont les 100 premières ont été déjà formées deux jours durant, aux notions de coopération et de gestion.
"Les femmes qui ne seront pas assidues à la formation, seront éliminée", a prévenu le président du conseil d’administration de la COOPEC, Moustapha Diarrassouba. Il a expliqué qu’après la formation, suivra un montage de dossier de crédit sans frais à payer ni d’épargne à faire.
"Le Fonds n’est pas gratuit, c’est bien un crédit avec un taux de remboursement de un pour cent par mois", a fait savoir Moustapha Diarrassouba.
Le directeur régional de la COOPEC Centre-est, Yaya Dagnogo a fait remarquer qu’à travers les femmes, ce sont toutes les familles de la Côte d’Ivoire qui seront épanouies. Il a encouragé les premières bénéficiaires à une gestion saine du fonds pour permettre à des millions d’autres femmes qui attendent ,d’en profiter à leur tour.
M. Dagnogo a rappelé que le FAFCI, pour cette première tranche, est estimé à un milliard FCFA pour toute la Côte d’Ivoire et pourrait être revue à hausse pour atteindre jusqu’à cinq milliards FCFA en 2014, si le premier milliard est convenablement remboursé. "Le Fonds sera plus bénéfique aux régions qui se seront illustrées comme les meilleures payeurs", a-t-il ajouté.
Le sous-préfet de Brobo, Djandé Lorng a pour sa part encouragé les femmes à fructifier les crédits obtenus pour sortir de la pauvreté. Il les a également exhortées à faire un bon remboursement pour traduire à la Première dame leur dignité.
La représentante des femmes, Mme Yao a traduit toute sa reconnaissance à la Première dame qui vient par le projet FAFCI rétablir la dignité des femmes de Bouaké, après dix ans de souffrance. Aussi, a-t-elle pris l’engagement de travailler de sorte à sortir les femmes de leur précarité.
nam/cmas