Abidjan - La Belgique « soutient » le processus de désarmement et de réinsertion des ex-combattants en cours en Côte d’Ivoire, a déclaré mercredi à Abidjan le ministre de la défense belge, Pieter De Crem, en visite de travail dans la capitale économique ivoirienne.
" La Belgique attache beaucoup de valeur à tout ce qui concerne la sécurité de la population, et soutient l’ONU dans son approche opérationnelle et coopérative du processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion des ex-combattants » en Côte d’Ivoire, a indiqué M. De Crem, lors d’un point de presse co-animé avec le coordinateur général de l’Agence pour le désarmement, la démobilisation, la réinsertion et la réintégration (ADDR), Fidel Sarassoro, au terme d’une opération de désarmement de 106 ex-combattants à réinsérer dans les douanes.
La Côte d’Ivoire qui sort d’une décennie de crise militaro-politique compte plus de 64 000 ex-combattants, notamment des ex-rebelles des forces armées des forces nouvelles (FAFN), des ex-miliciens et groupes d’auto-défense proches de l’ex-président ivoiriens Laurent Gbagbo, ainsi que des " volontaires ", supplétifs ayant combattu auprès des forces république de Côte d’Ivoire (FRCI) lors de la crise postélectorale (2010-2011).
Une partie de ces jeunes à risque a été intégrée dans les forces armées et de sécurité régulières, tandis que d’autres attendent leur intégration dans lesdites forces. La majorité d’entre eux seront réinsérés dans la vie civile après avoir déposé leurs armes.
Le ministre de la défense belge a également félicité l’ADDR "pour les in initiatives qui sont prises" dans le cadre de la réinsertion, réitérant la disponibilité de son pays à accompagner la Côte d’Ivoire dans ce processus.
Une première opération de désarmement et de réinsertion conduite par l’ADDR a permis de 2000 ex-combattant de bénéficier d’un programme de réinsertion.
amak/tm
" La Belgique attache beaucoup de valeur à tout ce qui concerne la sécurité de la population, et soutient l’ONU dans son approche opérationnelle et coopérative du processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion des ex-combattants » en Côte d’Ivoire, a indiqué M. De Crem, lors d’un point de presse co-animé avec le coordinateur général de l’Agence pour le désarmement, la démobilisation, la réinsertion et la réintégration (ADDR), Fidel Sarassoro, au terme d’une opération de désarmement de 106 ex-combattants à réinsérer dans les douanes.
La Côte d’Ivoire qui sort d’une décennie de crise militaro-politique compte plus de 64 000 ex-combattants, notamment des ex-rebelles des forces armées des forces nouvelles (FAFN), des ex-miliciens et groupes d’auto-défense proches de l’ex-président ivoiriens Laurent Gbagbo, ainsi que des " volontaires ", supplétifs ayant combattu auprès des forces république de Côte d’Ivoire (FRCI) lors de la crise postélectorale (2010-2011).
Une partie de ces jeunes à risque a été intégrée dans les forces armées et de sécurité régulières, tandis que d’autres attendent leur intégration dans lesdites forces. La majorité d’entre eux seront réinsérés dans la vie civile après avoir déposé leurs armes.
Le ministre de la défense belge a également félicité l’ADDR "pour les in initiatives qui sont prises" dans le cadre de la réinsertion, réitérant la disponibilité de son pays à accompagner la Côte d’Ivoire dans ce processus.
Une première opération de désarmement et de réinsertion conduite par l’ADDR a permis de 2000 ex-combattant de bénéficier d’un programme de réinsertion.
amak/tm