Yamoussoukro – Le président de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, Alassane Dramane Ouattara a souligné, mercredi à Yamoussoukro (Côte d’Ivoire) que la permanente concertation entre les Etats membres a favorisé la mise en œuvre des décisions.
Selon M. Ouattara, l’indispensable solidarité entre les Etats membres est devenue une réalité palpable qui devra guider leur détermination à renforcer les institutions, la démocratie, l’Etat de droit et la bonne gouvernance dans chacun des pays membres.
Au plan économique, le président Ouattara a expliqué que chacun des Etats avec le soutien des partenaires au développement, a contribué au renforcement de la dynamique collective dans la réalisation des chantiers de développement communautaires indispensable à l’amélioration des conditions de vie des populations.
Selon lui, les actions en cours convergent vers une harmonisation des politiques sectorielles et confirment les bonnes perspectives de croissance de la sous région avec un taux de croissance de 6,9% en 2012 contre 5,9% en 2011.
M. Ouattara a expliqué que l’une des priorités de la réalisation de l’agenda régional demeure l’achèvement de la construction du marché commun pour lequel des progrès tangibles sont chaque jour réalisés.
S’agissant des infrastructures économiques régionales, le président de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement a fait remarquer que la mobilisation des ressources pour la réalisation des projets régionaux d’interconnexions entre les Etats est une réalité qui s’inscrit dans les initiatives à la fois bilatérale et multilatérale.
« La réalisation et la réhabilitation des grandes infrastructures d’interconnexions routières, ferroviaires, électriques, par câbles, sont entamées dans la plupart de nos pays », a révélé M. Ouattara, ajoutant que l’appropriation par les Etats membres de l’ensemble des instruments et règles communautaires s’inscrit de plus en plus dans les priorités gouvernementales des pays respectifs.
Dans cette optique, M. Ouattara a salué les efforts de l’Union vers l’harmonisation des politiques économiques et financières, la réalisation de l’union douanière, la mise en place du Tarif extérieur commun (TEC) et la finalisation du code des investissements de la communauté.
Le président de la république de Côte d’Ivoire a relevé que le secteur privé dont les investissements vont au-delà des frontières de la région, apporte progressivement une plus value à la croissance économiques de la sous région.
Face aux défis multiples d’un monde en pleine turbulence financière, M. Ouattara a plaidé pour l’adoption et la mise en œuvre de décisions « courageuses » qui participent de sa transformation en un pôle de stabilité, d’émergence et de croissance économique.
« Nous disposons du potentiel, des ressources et d’une force de création et de travail indiscutable pour réussir le pari de l’industrialisation et de la transformation de nos matières premières », a-t-il dit.
Selon lui, l’amélioration des performances institutionnelles, découlera de la réussite des réformes à imprimer aux structures de conception et d’exécution de l’organisation commune.
Dans le sens de grands changements dans le mode opératoire de la Commission de la CEDEAO, l’organisation s’est engagée à faire de l’instrument d’intégration, un outil opérationnel et de performance, plus proche et plus à l’écoute des préoccupations quotidiennes des populations.
Le 42e sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO a regroupé 17 chefs d’Etat dont 3 présidents du Tchad, de la Mauritanie et du Burundi non membres de l’Union.
IS/
Selon M. Ouattara, l’indispensable solidarité entre les Etats membres est devenue une réalité palpable qui devra guider leur détermination à renforcer les institutions, la démocratie, l’Etat de droit et la bonne gouvernance dans chacun des pays membres.
Au plan économique, le président Ouattara a expliqué que chacun des Etats avec le soutien des partenaires au développement, a contribué au renforcement de la dynamique collective dans la réalisation des chantiers de développement communautaires indispensable à l’amélioration des conditions de vie des populations.
Selon lui, les actions en cours convergent vers une harmonisation des politiques sectorielles et confirment les bonnes perspectives de croissance de la sous région avec un taux de croissance de 6,9% en 2012 contre 5,9% en 2011.
M. Ouattara a expliqué que l’une des priorités de la réalisation de l’agenda régional demeure l’achèvement de la construction du marché commun pour lequel des progrès tangibles sont chaque jour réalisés.
S’agissant des infrastructures économiques régionales, le président de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement a fait remarquer que la mobilisation des ressources pour la réalisation des projets régionaux d’interconnexions entre les Etats est une réalité qui s’inscrit dans les initiatives à la fois bilatérale et multilatérale.
« La réalisation et la réhabilitation des grandes infrastructures d’interconnexions routières, ferroviaires, électriques, par câbles, sont entamées dans la plupart de nos pays », a révélé M. Ouattara, ajoutant que l’appropriation par les Etats membres de l’ensemble des instruments et règles communautaires s’inscrit de plus en plus dans les priorités gouvernementales des pays respectifs.
Dans cette optique, M. Ouattara a salué les efforts de l’Union vers l’harmonisation des politiques économiques et financières, la réalisation de l’union douanière, la mise en place du Tarif extérieur commun (TEC) et la finalisation du code des investissements de la communauté.
Le président de la république de Côte d’Ivoire a relevé que le secteur privé dont les investissements vont au-delà des frontières de la région, apporte progressivement une plus value à la croissance économiques de la sous région.
Face aux défis multiples d’un monde en pleine turbulence financière, M. Ouattara a plaidé pour l’adoption et la mise en œuvre de décisions « courageuses » qui participent de sa transformation en un pôle de stabilité, d’émergence et de croissance économique.
« Nous disposons du potentiel, des ressources et d’une force de création et de travail indiscutable pour réussir le pari de l’industrialisation et de la transformation de nos matières premières », a-t-il dit.
Selon lui, l’amélioration des performances institutionnelles, découlera de la réussite des réformes à imprimer aux structures de conception et d’exécution de l’organisation commune.
Dans le sens de grands changements dans le mode opératoire de la Commission de la CEDEAO, l’organisation s’est engagée à faire de l’instrument d’intégration, un outil opérationnel et de performance, plus proche et plus à l’écoute des préoccupations quotidiennes des populations.
Le 42e sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO a regroupé 17 chefs d’Etat dont 3 présidents du Tchad, de la Mauritanie et du Burundi non membres de l’Union.
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