Sakassou, Des agriculteurs de Sakassou (région du Bélier) ont opté depuis la mi-février 2013 pour l’utilisation des herbicides dans les champs, abandonnant le "katchê", une technique culturale qui consiste à désherber la superficie cultivables avant les plantes.
Selon N’guessan Kouakou Narcus, un habitant du village de fonvonou, les herbicides présentent de nombreux avantages pour les cultures.
"Après avoir éliminé le couvert végétal, les herbicides pénètrent dans les racines des herbes ; toute chose qui constitue du coup de l’engrais pour les cultures", a-t-il expliqué.
Il existe trois types d’herbicide à savoir, l’herbicide pro-levée qui s’utilise avant les semailles pour empêcher les herbes de pousser avant les plantes, l’herbicide post-levée qui sélection et tue les herbes dans les plantes et l’herbicide total qui élimine tout le couvert végétal, a indiqué le chef de zone de l’ANADER, Tano Koffi Kan, ajoutant que "ce dernier type d’herbicide semble le plus utilisé par des agriculteurs de Sakassou".
"L’utilisation des herbicides présente des avantages ; néanmoins, les paysans doivent être formés pour minimiser les dangers que pourrait entrainer leur mauvais usage sur l’environnement et sur la population", a-t-il conseillé.
(AIP)
tni/sn/tm
Selon N’guessan Kouakou Narcus, un habitant du village de fonvonou, les herbicides présentent de nombreux avantages pour les cultures.
"Après avoir éliminé le couvert végétal, les herbicides pénètrent dans les racines des herbes ; toute chose qui constitue du coup de l’engrais pour les cultures", a-t-il expliqué.
Il existe trois types d’herbicide à savoir, l’herbicide pro-levée qui s’utilise avant les semailles pour empêcher les herbes de pousser avant les plantes, l’herbicide post-levée qui sélection et tue les herbes dans les plantes et l’herbicide total qui élimine tout le couvert végétal, a indiqué le chef de zone de l’ANADER, Tano Koffi Kan, ajoutant que "ce dernier type d’herbicide semble le plus utilisé par des agriculteurs de Sakassou".
"L’utilisation des herbicides présente des avantages ; néanmoins, les paysans doivent être formés pour minimiser les dangers que pourrait entrainer leur mauvais usage sur l’environnement et sur la population", a-t-il conseillé.
(AIP)
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