Le 8 mars 2013, la Cour pénale internationale (CPI) se joint aux communautés à travers le monde pour marquer la Journée internationale de la femme. Cette journée visant à célébrer les avancées des droits des femmes est également une journée permettant de rappeler qu'il reste encore beaucoup à faire pour promouvoir et défendre ces droits, en particulier pour les femmes et toutes autres personnes rendues vulnérables au cours de situations de conflit armé.
« La violence contre les femmes est une violence contre l'humanité », a déclaré le Président de la CPI, M. le juge Sang-Hyun Song. «Lors de conflits armés, les femmes sont souvent les cibles de violences systématiques. Ces crimes, tels que le viol, l'esclavage sexuel, et autres actes de violence atroces qui déchirent le tissu de communautés tout entières, doivent cesser. La CPI cherche à mettre fin à ces crimes en aidant à assurer qu'ils ne demeurent pas invisibles ou impunis. A tous ceux marquant cette journée importante : nous vous demandons de vous joindre à nous pour travailler vers cet objectif ».
Ajoutant aux propos du Président, le Procureur de la CPI Mme Fatou Bensouda a déclaré : « Cette journée nous rappelle qu'il reste encore beaucoup à faire. Dans de nombreuses sociétés, la norme est de nier l'existence des crimes sexospécifiques, de les ignorer et même de faire honte aux victimes. La loi est un outil puissant pour faire la lumière sur ces crimes, donner une voix aux victimes et punir leurs auteurs. Nous avons une responsabilité et un mandat clair d'enquêter et de poursuivre ceux qui utilisent la violence contre les femmes comme une arme de guerre ».
La CPI est la première cour pénale internationale permanente créée en vertu d'un traité pour mettre fin à l'impunité des auteurs des crimes les plus graves touchant la communauté internationale, à savoir les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité, et le génocide. La majorité des affaires portées devant la Cour comporte des allégations de violence sexuelle ou à caractère sexiste.
« La violence contre les femmes est une violence contre l'humanité », a déclaré le Président de la CPI, M. le juge Sang-Hyun Song. «Lors de conflits armés, les femmes sont souvent les cibles de violences systématiques. Ces crimes, tels que le viol, l'esclavage sexuel, et autres actes de violence atroces qui déchirent le tissu de communautés tout entières, doivent cesser. La CPI cherche à mettre fin à ces crimes en aidant à assurer qu'ils ne demeurent pas invisibles ou impunis. A tous ceux marquant cette journée importante : nous vous demandons de vous joindre à nous pour travailler vers cet objectif ».
Ajoutant aux propos du Président, le Procureur de la CPI Mme Fatou Bensouda a déclaré : « Cette journée nous rappelle qu'il reste encore beaucoup à faire. Dans de nombreuses sociétés, la norme est de nier l'existence des crimes sexospécifiques, de les ignorer et même de faire honte aux victimes. La loi est un outil puissant pour faire la lumière sur ces crimes, donner une voix aux victimes et punir leurs auteurs. Nous avons une responsabilité et un mandat clair d'enquêter et de poursuivre ceux qui utilisent la violence contre les femmes comme une arme de guerre ».
La CPI est la première cour pénale internationale permanente créée en vertu d'un traité pour mettre fin à l'impunité des auteurs des crimes les plus graves touchant la communauté internationale, à savoir les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité, et le génocide. La majorité des affaires portées devant la Cour comporte des allégations de violence sexuelle ou à caractère sexiste.