Des positions des Forces républicaines de Côte d’Ivoire ont été la cible d’hommes en armes hier, aux environs de 3 heures du matin, dans le département de Blolequin.
Les assaillants ont encore frappé. Et le bilan semble être lourd. « Ils ont attaqué les positions des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci dans le village de Zilébly dans le département de Blolequin, à 18 kilomètres de la frontière avec le Libéria. L’on enregistre des morts et des blessés. Ces derniers ont été évacués à l’hôpital général de Blolequin », indique une source proche des forces républicaines. Cette dernière ne précise ni le nombre de morts, ni le nombre de blessés, même si certains habitants parlent de deux à cinq morts. Une situation qui a une fois de plus troublé la quiétude des populations qui ont terriblement souffert des affres de la récente crise post-électorale. Prises de peur et de panique, les populations de Zilébly et Tinhou dans la sous-préfecture de Diboké ont fui massivement ces deux localités pour trouver refuge à Blolequin et dans d’autres villages du département. Le commandant Losséni Fofana, chef du Bataillon de sécurisation de l’Ouest s’est déporté sur les lieux avec du renfort. Selon notre source, les assaillants ont été repoussés dans la matinée de mercredi et le calme semble de retour. Notre source relève par ailleurs que les assaillants seraient venus du Liberia voisin pour perpétrer l’attaque aux environs de 3 heures du matin. Une information que réfute un officier joint au téléphone. Pour lui, ces assaillants pourraient être des miliciens qui se sont camouflés dans la forêt de la zone frontalière. « Nous avons été témoins du déploiement de deux bataillons des forces libériennes tout le long de la frontière entre nos deux pays. Pour moi, il est impossible pour des assaillants en armes de traverser tout ce cordon de sécurité pour attaquer nos positions, sauf s’ils bénéficient d’une complicité de nos frères d’armes de l’autre côté. Et je ne crois pas que ça soit le cas. Les assaillants ne sont pas venus de l’autre côté de la frontière. Nous allons redoubler de vigilance et les traquer comme il se doit », promet l’officier des forces républicaines de Côte d’Ivoire.
Kindo Ousseny à Man
Les assaillants ont encore frappé. Et le bilan semble être lourd. « Ils ont attaqué les positions des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci dans le village de Zilébly dans le département de Blolequin, à 18 kilomètres de la frontière avec le Libéria. L’on enregistre des morts et des blessés. Ces derniers ont été évacués à l’hôpital général de Blolequin », indique une source proche des forces républicaines. Cette dernière ne précise ni le nombre de morts, ni le nombre de blessés, même si certains habitants parlent de deux à cinq morts. Une situation qui a une fois de plus troublé la quiétude des populations qui ont terriblement souffert des affres de la récente crise post-électorale. Prises de peur et de panique, les populations de Zilébly et Tinhou dans la sous-préfecture de Diboké ont fui massivement ces deux localités pour trouver refuge à Blolequin et dans d’autres villages du département. Le commandant Losséni Fofana, chef du Bataillon de sécurisation de l’Ouest s’est déporté sur les lieux avec du renfort. Selon notre source, les assaillants ont été repoussés dans la matinée de mercredi et le calme semble de retour. Notre source relève par ailleurs que les assaillants seraient venus du Liberia voisin pour perpétrer l’attaque aux environs de 3 heures du matin. Une information que réfute un officier joint au téléphone. Pour lui, ces assaillants pourraient être des miliciens qui se sont camouflés dans la forêt de la zone frontalière. « Nous avons été témoins du déploiement de deux bataillons des forces libériennes tout le long de la frontière entre nos deux pays. Pour moi, il est impossible pour des assaillants en armes de traverser tout ce cordon de sécurité pour attaquer nos positions, sauf s’ils bénéficient d’une complicité de nos frères d’armes de l’autre côté. Et je ne crois pas que ça soit le cas. Les assaillants ne sont pas venus de l’autre côté de la frontière. Nous allons redoubler de vigilance et les traquer comme il se doit », promet l’officier des forces républicaines de Côte d’Ivoire.
Kindo Ousseny à Man