ABIDJAN- Un commando armé a attaqué samedi le village de Petit Guiglo, dans le département de Bloléquin (ouest), faisant au moins huit morts dont quatre civils et quatre assaillants, a appris Xinhua dimanche auprès des habitants.
A en croire ceux-ci, les inconnus armés ont tué deux civils au sein du village, et deux autres dans la forêt.
Des villageois qui fuyaient vers la ville ont affirmé avoir vu quatre corps d'assaillants abattus par les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI).
Une patrouille de Casques bleus qui s'était rendue sur les lieux avait fait état de six morts, un bilan provisoire.
Le village de Petit-Guiglo situé dans la zone frontalière ivoiro-libérienne abrite de nombreux allogènes ressortissants du Burkina Faso qui ont été la cible principale des hommes armés.
Plusieurs centaines de villageois ont ainsi trouvé refuge dans les villes de Tinhou et de Bloléquin et sont pris en charge par les autorités locales.
"L'armée est sur le terrain, la situation est sous contrôle", a assuré le sous-préfet de Bloléquin, Claude Koffi.
L'Opération des nations-Unies en Côte d'ivoire (ONUCI) affirme de son côté avoir renforcé ses patrouilles dans la zone.
Il s'agit de la troisième attaque dans cette zone, en moins de 10 jours.
Des attaques précédentes perpétrées par des inconnus armés à Zilébly et à Tuobly avaient fait une dizaine de morts dont deux militaires ivoiriens.
Après une période d'accalmie, la région ouest de la Côte d'ivoire est de nouveau le théâtre d'attaques récurrentes, créant la psychose au sein des populations qui abandonnent leurs maisons et leurs plantations pour chercher des abris sûrs.
A en croire ceux-ci, les inconnus armés ont tué deux civils au sein du village, et deux autres dans la forêt.
Des villageois qui fuyaient vers la ville ont affirmé avoir vu quatre corps d'assaillants abattus par les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI).
Une patrouille de Casques bleus qui s'était rendue sur les lieux avait fait état de six morts, un bilan provisoire.
Le village de Petit-Guiglo situé dans la zone frontalière ivoiro-libérienne abrite de nombreux allogènes ressortissants du Burkina Faso qui ont été la cible principale des hommes armés.
Plusieurs centaines de villageois ont ainsi trouvé refuge dans les villes de Tinhou et de Bloléquin et sont pris en charge par les autorités locales.
"L'armée est sur le terrain, la situation est sous contrôle", a assuré le sous-préfet de Bloléquin, Claude Koffi.
L'Opération des nations-Unies en Côte d'ivoire (ONUCI) affirme de son côté avoir renforcé ses patrouilles dans la zone.
Il s'agit de la troisième attaque dans cette zone, en moins de 10 jours.
Des attaques précédentes perpétrées par des inconnus armés à Zilébly et à Tuobly avaient fait une dizaine de morts dont deux militaires ivoiriens.
Après une période d'accalmie, la région ouest de la Côte d'ivoire est de nouveau le théâtre d'attaques récurrentes, créant la psychose au sein des populations qui abandonnent leurs maisons et leurs plantations pour chercher des abris sûrs.