Bondoukou - Le préfet de la région du Gontougo, préfet du département de Bondoukou, Germain François Goun, après un séjour en terre sainte (Israël) qui l’a conduit sur les traces de Jésus-Christ, a appelé les Ivoiriens à fraterniser, à s’aimer véritablement pour le retour de la paix durable.
« Que la fraternité soit dans le cœur des Ivoiriens tous les jours. Aimez-vous les uns, les autres. Ce commandement de Dieu résume tous les autres. Quand vous aimez quelqu’un, vous ne pouvez que faire ce qui est dit dans les autres commandements de Dieu notamment ne tuez pas, ne volez pas, ne commettez pas l’adultère, honorez votre père et votre mère », a indiqué M. Goun.
Le préfet de région a appelé également les Ivoiriens à la réconciliation, soulignant que celle-ci est une œuvre à la quelle chacun doit prendre une part active pour le retour effectif de la paix en Côte d’Ivoire.
« Que chacun de nous dispose son cœur à la réconciliation. La réconciliation est une œuvre collective parce que si vous allez en guerre contre quelqu’un, si vous êtes en conflit avec quelqu’un et que vous ne pouvez pas vous réconcilier avec ce dernier, cela veut dire que vous demeurez dans l’état de belligérance. Ça ne vous arrange pas. Ça n’arrange pas également l’autre », a dit le préfet, exhortant les Ivoiriens à se pardonner quelque soit le mal enduré lors de la crise postélectorale.
« Il faut pratiquer l’amour, la paix. Même si quelque chose vous a fait mal. Il faut toujours souhaiter que cela ne se reproduise plus. Il faut pardonner et demander à celui qui vous a causé du tort d’avoir le courage de le reconnaître. Et de demander pardon à son tour pour que votre cœur soit apaisé. Le pardon ne doit pas venir d’un seul camp mais plutôt des deux camps », a prôné l’administrateur civil.
En ce qui concerne les élections municipales et régionales prévues le 21 avril, il a souhaité qu’elles se déroulent dans un climat de fraternité et de convivialité.
« Que les confrontations auxquelles nous allons assister bientôt soient empreintes de fraternité, de convivialité. Et que le dépassement de sois, soit la règle des choses. Que les candidats se considèrent comme des adversaires et non des ennemis. Qu’on dise des mots qui ne blessent pas, qui ne laissent pas de cicatrices. Que l’après élection soit facile à gérer entre les frères », a-t-il indiqué
Parlant de ce pèlerinage, effectué en terre sainte (Israël) du 24 février au 6 mars, le préfet a dit avoir visité notamment les villes de Jérusalem, Bethléem, Nazareth, Jéricho, Canaan et Capharnaüm, marchant dans les pas de Jésus-Christ à travers des lieux saints tels que le Cénacle, le Golgotha, le jardin de Gethsémani, la mer de Galilée, le Jourdain et les Monts des oliviers, des béatitudes et de Carmel.
« Quand on a été dans ces lieux avec l’objectif de se rendre compte de ce qui a pu se passer là-bas comme manifestation de Dieu aux hommes, je vous le dis on se sent un homme nouveau. Nous voyons que notre condition humaine, l’orgueil sont des choses dont nous devons nous séparer pour pouvoir avoir des comportements qui plaisent à Dieu, pour faire des œuvres qui soient agréables à Dieu » a témoigné le préfet.
Le préfet de région a dit avoir rencontré en quelque sorte Dieu dans ces lieux saints et persuadé qu’il lui a accordé des grâces.
« Quand on a été dans ces lieux saints, c’est comme on a été vraiment à la rencontre de Dieu. Je ne l’ai pas vu mais il m’a vu, et je sais dans quel état d’esprit je me trouvais. Je suis persuadé que nous sommes revenus de là-bas avec des grâces. On ne peut pas venir de là-bas sans que Dieu vous en accorde. C’est pourquoi, nous prions Dieu pour qu’il fasse en sorte que tout le monde les reçoive », a dit l’administrateur civil.
Selon celui-ci, à l’occasion de ce pèlerinage, des prières ont été dites. « L’occasion a été pour nous les pèlerins de prier pour que la paix revienne définitivement dans notre pays, de prier pour ses dirigeants afin que Dieu leur accorde la sagesse et l’intelligence pour qu’ils puissent diriger selon son commandement le peuple qu’il leur à confier. Nous avons prié également pour chaque ivoirien afin qu’il soit disposé à tendre la main à son frère », a fait savoir le préfet de région.
Il a souligné que les pèlerins ont consacré ce temps fort de rencontre avec Dieu à prier également pour toute l’humanité surtout pour les pays en crise. « Nous avons prié pour toute l’humanité, pour les pays dans lesquels les gens se battent comme la Syrie, le Mali afin que ces pays retrouvent la paix », a ajouté M. Goun.
« Il y a des choses qu’on ne peut pas décrire, raconter. La meilleure des choses qu’on doit souhaiter à un être humain, à quelqu’un, c’est que Dieu lui donne l’occasion de faire ce voyage, d’aller lui-même découvrir cette terre merveilleuse », a souhaité ardemment le préfet.
Ce pèlerinage, à relever le préfet de la région du Gontougo et préfet du département de Bondoukou, Germain François Gun a été financé entièrement par l’état de Côte d’Ivoire, adressant sa profonde gratitude au Président, Alassane Ouattara ainsi qu’à tous ces collaborateurs.
ns/cmas
« Que la fraternité soit dans le cœur des Ivoiriens tous les jours. Aimez-vous les uns, les autres. Ce commandement de Dieu résume tous les autres. Quand vous aimez quelqu’un, vous ne pouvez que faire ce qui est dit dans les autres commandements de Dieu notamment ne tuez pas, ne volez pas, ne commettez pas l’adultère, honorez votre père et votre mère », a indiqué M. Goun.
Le préfet de région a appelé également les Ivoiriens à la réconciliation, soulignant que celle-ci est une œuvre à la quelle chacun doit prendre une part active pour le retour effectif de la paix en Côte d’Ivoire.
« Que chacun de nous dispose son cœur à la réconciliation. La réconciliation est une œuvre collective parce que si vous allez en guerre contre quelqu’un, si vous êtes en conflit avec quelqu’un et que vous ne pouvez pas vous réconcilier avec ce dernier, cela veut dire que vous demeurez dans l’état de belligérance. Ça ne vous arrange pas. Ça n’arrange pas également l’autre », a dit le préfet, exhortant les Ivoiriens à se pardonner quelque soit le mal enduré lors de la crise postélectorale.
« Il faut pratiquer l’amour, la paix. Même si quelque chose vous a fait mal. Il faut toujours souhaiter que cela ne se reproduise plus. Il faut pardonner et demander à celui qui vous a causé du tort d’avoir le courage de le reconnaître. Et de demander pardon à son tour pour que votre cœur soit apaisé. Le pardon ne doit pas venir d’un seul camp mais plutôt des deux camps », a prôné l’administrateur civil.
En ce qui concerne les élections municipales et régionales prévues le 21 avril, il a souhaité qu’elles se déroulent dans un climat de fraternité et de convivialité.
« Que les confrontations auxquelles nous allons assister bientôt soient empreintes de fraternité, de convivialité. Et que le dépassement de sois, soit la règle des choses. Que les candidats se considèrent comme des adversaires et non des ennemis. Qu’on dise des mots qui ne blessent pas, qui ne laissent pas de cicatrices. Que l’après élection soit facile à gérer entre les frères », a-t-il indiqué
Parlant de ce pèlerinage, effectué en terre sainte (Israël) du 24 février au 6 mars, le préfet a dit avoir visité notamment les villes de Jérusalem, Bethléem, Nazareth, Jéricho, Canaan et Capharnaüm, marchant dans les pas de Jésus-Christ à travers des lieux saints tels que le Cénacle, le Golgotha, le jardin de Gethsémani, la mer de Galilée, le Jourdain et les Monts des oliviers, des béatitudes et de Carmel.
« Quand on a été dans ces lieux avec l’objectif de se rendre compte de ce qui a pu se passer là-bas comme manifestation de Dieu aux hommes, je vous le dis on se sent un homme nouveau. Nous voyons que notre condition humaine, l’orgueil sont des choses dont nous devons nous séparer pour pouvoir avoir des comportements qui plaisent à Dieu, pour faire des œuvres qui soient agréables à Dieu » a témoigné le préfet.
Le préfet de région a dit avoir rencontré en quelque sorte Dieu dans ces lieux saints et persuadé qu’il lui a accordé des grâces.
« Quand on a été dans ces lieux saints, c’est comme on a été vraiment à la rencontre de Dieu. Je ne l’ai pas vu mais il m’a vu, et je sais dans quel état d’esprit je me trouvais. Je suis persuadé que nous sommes revenus de là-bas avec des grâces. On ne peut pas venir de là-bas sans que Dieu vous en accorde. C’est pourquoi, nous prions Dieu pour qu’il fasse en sorte que tout le monde les reçoive », a dit l’administrateur civil.
Selon celui-ci, à l’occasion de ce pèlerinage, des prières ont été dites. « L’occasion a été pour nous les pèlerins de prier pour que la paix revienne définitivement dans notre pays, de prier pour ses dirigeants afin que Dieu leur accorde la sagesse et l’intelligence pour qu’ils puissent diriger selon son commandement le peuple qu’il leur à confier. Nous avons prié également pour chaque ivoirien afin qu’il soit disposé à tendre la main à son frère », a fait savoir le préfet de région.
Il a souligné que les pèlerins ont consacré ce temps fort de rencontre avec Dieu à prier également pour toute l’humanité surtout pour les pays en crise. « Nous avons prié pour toute l’humanité, pour les pays dans lesquels les gens se battent comme la Syrie, le Mali afin que ces pays retrouvent la paix », a ajouté M. Goun.
« Il y a des choses qu’on ne peut pas décrire, raconter. La meilleure des choses qu’on doit souhaiter à un être humain, à quelqu’un, c’est que Dieu lui donne l’occasion de faire ce voyage, d’aller lui-même découvrir cette terre merveilleuse », a souhaité ardemment le préfet.
Ce pèlerinage, à relever le préfet de la région du Gontougo et préfet du département de Bondoukou, Germain François Gun a été financé entièrement par l’état de Côte d’Ivoire, adressant sa profonde gratitude au Président, Alassane Ouattara ainsi qu’à tous ces collaborateurs.
ns/cmas
