La rencontre sur la contribution des médias pour des élections locales couplées apaisées s’est ouverte hier vendredi dans la matinée au siège de la Mission en présence de la Représentante de la Ministre de la Communication et Porte-parole adjoint du Gouvernement, du Président du Conseil National de la Presse, des responsables des réseaux et structures d’appui aux médias, ainsi que plusieurs journalistes, à quelques heures du lancement de la campagne électorale.
Le Directeur de la Division des Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Eugène Nindorera a, au cours de son intervention situé le rôle exact de la Mission dans ce processus électoral. « L’intervention de l’ONUCI sera différente de celle des précédentes élections présidentielles et législatives ; le Conseil de sécurité n’a pas donné de mandat spécifique à l’ONUCI en ce qui concerne l’organisation des prochaines élections », a-t-il indiqué. M Nindorera a également précisé que l’appui à ce processus s’inscrivait dans le cadre large de l’exécution du mandat de la Mission et consiste en un appui aux forces de défense et de sécurité ivoiriennes chargées de la sécurisation de l’environnement et en un conseil technique à la Commission électorale indépendante (CEI).
Le Chef de la Division des droits de l’homme a noté les défis à relever par les professionnels de l’information à ces élections locales couplées, premières du genre organisées par la Côte d’Ivoire. Selon M Nindorera, il s’agit dans un premier temps pour les journalistes, d’être des relais clés pour que les électeurs, par ailleurs lecteurs, téléspectateurs et/ou auditeurs, s’approprient le mode opératoire de ce processus.
Dans un second temps, a-t-il poursuivi, les hommes des médias devraient éviter de succomber à la tentation de servir aux consommateurs des antivaleurs comme la propagation des rumeurs, l’exacerbation des drames, la manipulation de l’information ou le sensationnel.
Soulignant la qualité exceptionnelle des relations entre l’ONUCI et les organes de régulation et d’auto-régulation ainsi qu’avec le Ministère de la Communication, le Directeur des Droits de l’Homme a rappelé les nombreux ateliers de renforcement de capacités des médias organisés par la Mission onusienne à l’endroit des radios de proximité et aux rééquipements et réhabilitations de radios privées non commerciales, dont le rôle dans le développement et la cohésion nationale est reconnu par tous.
Les échanges articulés autour de la pratique professionnelle du métier de journaliste et des principes qui guident la couverture d’une élection s principes, la démonstration pratique par la CEI du mécanisme du vote couplé sont autant d’éléments dont le respect garantira un scrutin paisible et couronné de succès.
Le Directeur de la Division des Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Eugène Nindorera a, au cours de son intervention situé le rôle exact de la Mission dans ce processus électoral. « L’intervention de l’ONUCI sera différente de celle des précédentes élections présidentielles et législatives ; le Conseil de sécurité n’a pas donné de mandat spécifique à l’ONUCI en ce qui concerne l’organisation des prochaines élections », a-t-il indiqué. M Nindorera a également précisé que l’appui à ce processus s’inscrivait dans le cadre large de l’exécution du mandat de la Mission et consiste en un appui aux forces de défense et de sécurité ivoiriennes chargées de la sécurisation de l’environnement et en un conseil technique à la Commission électorale indépendante (CEI).
Le Chef de la Division des droits de l’homme a noté les défis à relever par les professionnels de l’information à ces élections locales couplées, premières du genre organisées par la Côte d’Ivoire. Selon M Nindorera, il s’agit dans un premier temps pour les journalistes, d’être des relais clés pour que les électeurs, par ailleurs lecteurs, téléspectateurs et/ou auditeurs, s’approprient le mode opératoire de ce processus.
Dans un second temps, a-t-il poursuivi, les hommes des médias devraient éviter de succomber à la tentation de servir aux consommateurs des antivaleurs comme la propagation des rumeurs, l’exacerbation des drames, la manipulation de l’information ou le sensationnel.
Soulignant la qualité exceptionnelle des relations entre l’ONUCI et les organes de régulation et d’auto-régulation ainsi qu’avec le Ministère de la Communication, le Directeur des Droits de l’Homme a rappelé les nombreux ateliers de renforcement de capacités des médias organisés par la Mission onusienne à l’endroit des radios de proximité et aux rééquipements et réhabilitations de radios privées non commerciales, dont le rôle dans le développement et la cohésion nationale est reconnu par tous.
Les échanges articulés autour de la pratique professionnelle du métier de journaliste et des principes qui guident la couverture d’une élection s principes, la démonstration pratique par la CEI du mécanisme du vote couplé sont autant d’éléments dont le respect garantira un scrutin paisible et couronné de succès.
