Abidjan – L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration des ex-combattants (ADDR) a procédé, jeudi, à la signature d’un protocole d’accord avec l’unité de coordination du Projet d’assistance post-conflit (PAPC), en vue d’accompagner le processus DDR.
Cet accord permettra de créer une synergie d’actions dans la conduite des activités liées à la réintégration des ex-combattants et d’optimiser ainsi les ressources et les moyens alloués par l’Etat de Côte d’Ivoire dans le cadre de la sortie de crise, a expliqué le coordonnateur du PAPC, Philippe Koffi, précisant que ce protocole d’accord sera suivi de conventions spécifiques.
« Ce protocole d’accord jette les bases juridiques d’un appui financier du PAPC à l’ADDR », a indiqué pour sa part le directeur général de l’ADDR, Fidel Sarassoro.
Il a souligné que cet accord permettra d’obtenir un financement en 2013 et en 2014, avec le soutien d’autres partenaires de l’Etat et l’Etat lui-même, pour des projets de réintégration socio-économiques des ex-combattants et des projets de réhabilitation communautaire dans les zones d’accueil de ces populations cibles.
L’ADDR ambitionne de réintégrer 30.000 ex-combattants en 2013 et 34.777 en 2014, a fait savoir M. Sarassoro. Pour lui, « cet objectif qui s’inscrit dans l’urgence sécuritaire et la lutte contre la pauvreté peut être atteint si une véritable mobilisation et une coordination effective des acteurs nationaux et internationaux s’instaurent autour de l’ADDR ».
Il a, par ailleurs, précisé que grâce à cette contribution majeure, l’ADDR dispose des outils nécessaires pour orienter, guider et coordonner toutes les actions des acteurs et partenaires en soutien au désarmement, à la démobilisation et à la réintégration.
« La réintégration dans le tissu socio-économique des ex-combattants est en effet une équation dont la solution ne peut se situer que dans l’unité d’action, la synergie des intelligences et des compétences », a dit le Premier ministre Daniel Kablan Duncan qui a salué et félicité la signature de cet accord.
Le chef du Gouvernement a partagé le vœu de la Côte d’Ivoire de rassembler tous ses fils et filles et de les associer à l’œuvre de reconstruction nationale. « Elle entend leur offrir les moyens de mener, quel que soit leur niveau social, leur appartenance politique ou religieuse, une vie de bien-être et de bonheur », a-t-il conclu.
kkf/cmas
Cet accord permettra de créer une synergie d’actions dans la conduite des activités liées à la réintégration des ex-combattants et d’optimiser ainsi les ressources et les moyens alloués par l’Etat de Côte d’Ivoire dans le cadre de la sortie de crise, a expliqué le coordonnateur du PAPC, Philippe Koffi, précisant que ce protocole d’accord sera suivi de conventions spécifiques.
« Ce protocole d’accord jette les bases juridiques d’un appui financier du PAPC à l’ADDR », a indiqué pour sa part le directeur général de l’ADDR, Fidel Sarassoro.
Il a souligné que cet accord permettra d’obtenir un financement en 2013 et en 2014, avec le soutien d’autres partenaires de l’Etat et l’Etat lui-même, pour des projets de réintégration socio-économiques des ex-combattants et des projets de réhabilitation communautaire dans les zones d’accueil de ces populations cibles.
L’ADDR ambitionne de réintégrer 30.000 ex-combattants en 2013 et 34.777 en 2014, a fait savoir M. Sarassoro. Pour lui, « cet objectif qui s’inscrit dans l’urgence sécuritaire et la lutte contre la pauvreté peut être atteint si une véritable mobilisation et une coordination effective des acteurs nationaux et internationaux s’instaurent autour de l’ADDR ».
Il a, par ailleurs, précisé que grâce à cette contribution majeure, l’ADDR dispose des outils nécessaires pour orienter, guider et coordonner toutes les actions des acteurs et partenaires en soutien au désarmement, à la démobilisation et à la réintégration.
« La réintégration dans le tissu socio-économique des ex-combattants est en effet une équation dont la solution ne peut se situer que dans l’unité d’action, la synergie des intelligences et des compétences », a dit le Premier ministre Daniel Kablan Duncan qui a salué et félicité la signature de cet accord.
Le chef du Gouvernement a partagé le vœu de la Côte d’Ivoire de rassembler tous ses fils et filles et de les associer à l’œuvre de reconstruction nationale. « Elle entend leur offrir les moyens de mener, quel que soit leur niveau social, leur appartenance politique ou religieuse, une vie de bien-être et de bonheur », a-t-il conclu.
kkf/cmas