Le premier procès des soldats accusés d’avoir commis des exactions durant les violences post-électorales s’est ouvert jeudi. Un événement positif mais pas suffisant pour Human Rights Watch, qui estime que le gouvernement doit fournir plus d’efforts pour garantir une justice équitable dans le pays.
Le procès des soldats accusés d’exactions lors des violences post-électorales de 2010-2011 s’est ouvert ce jeudi. Une première depuis la fin des troubles qui ont ensanglanté le pays suite au refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara.
Le gouvernement ivoirien a fait un premier pas. Mais ce n’est suffisant, juge Human Rights Watch. Pour l’organisation de défense des droits de l’Homme, les autorités ivoiriennes doivent fournir plus... suite de l'article sur Afrik.com
Le procès des soldats accusés d’exactions lors des violences post-électorales de 2010-2011 s’est ouvert ce jeudi. Une première depuis la fin des troubles qui ont ensanglanté le pays suite au refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara.
Le gouvernement ivoirien a fait un premier pas. Mais ce n’est suffisant, juge Human Rights Watch. Pour l’organisation de défense des droits de l’Homme, les autorités ivoiriennes doivent fournir plus... suite de l'article sur Afrik.com