Abidjan, Depuis quelque temps, des animaux errants s'attaqueraient aux usagers sur la voie publique, notamment dans des localités de l'intérieur du pays, où ces êtres constitueraient un réel danger pour la vie et la sécurité des populations au sein desquelles ils ont fini par installer la psychose d'agression.
Des chiens aux bœufs, en passant par les moutons, tous se disputent la circulation avec les usagers, engendrant, souvent, des accidents avec les automobilistes. Dimanche, l'on signale que le phénomène s'est déjà produit à Jacqueville, où des personnes ont été victimes de morsure de chien, et qui ont contracté, par voie de conséquence, la rage.
Les ménages ne sont pas non plus épargnés par la situation: en raison de la prosmicuité vécue avec ces êtres, ceux-ci vivent, la mort dans l'âme, la destruction de leurs cultures. Ne sachant pas à quel saint se vouer, les populations appellent les autorités préfectorales et municipales à envisager des mesures efficientes pour éradiquer le phénomène ou, à tout le moins, le juguler, ont-elles exprimé, très remontées, et ne cachant pas leur psychose.
Autre lieu, même menace sur la sécurité des usagers et des ménages: à Danané(ouest, région du Tonkpi), dans le district des Montagnes, un chef de quartier fut pris à partie par un aliéné mental qui l'a mordu. A Danané, comme partout ailleurs, les fous errants, arpentant, boulevards, avenues et rues, et squattant même les abords des ponts, a-t-on constaté, constituent plus qu'une nuisance publique. Leur présence, quasi-permanente dans l'environnement immédiat des usagers et des ménages, ajoute davantage au sentiment d'insécurité.
(AIP)
eb/Kg/gk/nf
Des chiens aux bœufs, en passant par les moutons, tous se disputent la circulation avec les usagers, engendrant, souvent, des accidents avec les automobilistes. Dimanche, l'on signale que le phénomène s'est déjà produit à Jacqueville, où des personnes ont été victimes de morsure de chien, et qui ont contracté, par voie de conséquence, la rage.
Les ménages ne sont pas non plus épargnés par la situation: en raison de la prosmicuité vécue avec ces êtres, ceux-ci vivent, la mort dans l'âme, la destruction de leurs cultures. Ne sachant pas à quel saint se vouer, les populations appellent les autorités préfectorales et municipales à envisager des mesures efficientes pour éradiquer le phénomène ou, à tout le moins, le juguler, ont-elles exprimé, très remontées, et ne cachant pas leur psychose.
Autre lieu, même menace sur la sécurité des usagers et des ménages: à Danané(ouest, région du Tonkpi), dans le district des Montagnes, un chef de quartier fut pris à partie par un aliéné mental qui l'a mordu. A Danané, comme partout ailleurs, les fous errants, arpentant, boulevards, avenues et rues, et squattant même les abords des ponts, a-t-on constaté, constituent plus qu'une nuisance publique. Leur présence, quasi-permanente dans l'environnement immédiat des usagers et des ménages, ajoute davantage au sentiment d'insécurité.
(AIP)
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