Ils sont tous là. Ou presque. JB M’Piana, Oumou Sangaré, Dobet Gnahoré, Alif Naaba, Sam Fan Thomas, Viviane Chidid et Charly Yapo. Les artistes invités pour la 6ème édition du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (Femua) sont effectivement à Abidjan. Hier matin, ils étaient tous réunis autour du Commissaire général du festival, Salif Traoré dit A’salfo au cours d’une rencontre avec la presse à l’hôtel Novotel, au Plateau. « Nous sommes là pour vous confirmer l’arrivée de toutes les délégations et la présence de tous les artistes. Seul manque Lafouine qui arrive samedi (ndr, aujourd’hui) », a indiqué d’emblée A’salfo, qui avait à ses côtés Melle Joyce Sagoe, Sous-Directrice Brands et Communication de MTN Côte d’Ivoire, sponsor leader de l’événement.
Le commissaire général du Femua a ensuite plaidé auprès des journalistes pour qu’ils aident le Femua à grandir par des critiques objectives, et non méchantes. De son côté, Joyce Sagoe a dit toute la joie de son entreprise d’associer son image à ce festival qui grandit d’année en année, tout en souhaitant des shows mémorables.
Puis, tour à tour, les vedettes de ce Femua 6 ont dit ce qu’ils pensaient de ce festival. C’est ainsi que la cantatrice mandingue Oumou Sangaré a exprimé «l’immense plaisir» qu’elle éprouve d’être à « ce grand festival».
« Ce genre de festival est important pour l’Afrique » a renchéri JB M’Piana, qui est venu avec son groupe au complet. Dobet Gnahoré est, elle, toute fière du brassage culturel que promeut le Femua. « Je salue aussi l’action sociale qui sous-tend le festival. Je remercie A’salfo pour cette initiative. C’est un grand homme, une grande fierté pour la Côte d’Ivoire », a ajouté la chanteuse. Comme elle, Alif Naaba s’est réjoui de l’engagement du groupe Magic System. «C’est important que la musique s’allie au développement. Nous avons une unité de l’Afrique qui se crée à partir de là. C’est un exemple pour les politiciens », a t-il fait remarquer, quand Charly Yapo remerciait A’salfo, de lui avoir permis, avec le Femua, de renouer avec la Côte d’Ivoire. Lui qui vit au Canada. Enfin le « doyen » de tous, Sam Fan Thomas a rappelé que la musique a plusieurs phases. « Il ne suffit pas de se mettre derrière un micro et sur une scène pour chanter. Il faut montrer que la musique peut servir à autre chose », a-t-il noté, précisant que c’est une grande joie pour lui de se retrouver Abidjan, d’où sa carrière internationale a été lancée en 1984. Place au show maintenant…
YS
Le commissaire général du Femua a ensuite plaidé auprès des journalistes pour qu’ils aident le Femua à grandir par des critiques objectives, et non méchantes. De son côté, Joyce Sagoe a dit toute la joie de son entreprise d’associer son image à ce festival qui grandit d’année en année, tout en souhaitant des shows mémorables.
Puis, tour à tour, les vedettes de ce Femua 6 ont dit ce qu’ils pensaient de ce festival. C’est ainsi que la cantatrice mandingue Oumou Sangaré a exprimé «l’immense plaisir» qu’elle éprouve d’être à « ce grand festival».
« Ce genre de festival est important pour l’Afrique » a renchéri JB M’Piana, qui est venu avec son groupe au complet. Dobet Gnahoré est, elle, toute fière du brassage culturel que promeut le Femua. « Je salue aussi l’action sociale qui sous-tend le festival. Je remercie A’salfo pour cette initiative. C’est un grand homme, une grande fierté pour la Côte d’Ivoire », a ajouté la chanteuse. Comme elle, Alif Naaba s’est réjoui de l’engagement du groupe Magic System. «C’est important que la musique s’allie au développement. Nous avons une unité de l’Afrique qui se crée à partir de là. C’est un exemple pour les politiciens », a t-il fait remarquer, quand Charly Yapo remerciait A’salfo, de lui avoir permis, avec le Femua, de renouer avec la Côte d’Ivoire. Lui qui vit au Canada. Enfin le « doyen » de tous, Sam Fan Thomas a rappelé que la musique a plusieurs phases. « Il ne suffit pas de se mettre derrière un micro et sur une scène pour chanter. Il faut montrer que la musique peut servir à autre chose », a-t-il noté, précisant que c’est une grande joie pour lui de se retrouver Abidjan, d’où sa carrière internationale a été lancée en 1984. Place au show maintenant…
YS