Le Secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-Moon, recommande de faire passer les effectifs de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) qui étaient, au 13 mars dernier, de 9.552 éléments à 8.837 éléments, dont 8. 645 membres des contingents et officiers d’état-major et 192 observateurs militaires. », a appris APA, mercredi, de source onusienne.
M. Ban, préconise également, dans un rapport sur la situation en Côte d’Ivoire présenté mardi dernier devant le Conseil de sécurité de l’Onu par le Sous-Secrétaire général aux opérations de maintien de la paix, Edmond Mulet, de renforcer les mécanismes de coopération entre l’Onuci et la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL) et l’état de la mise en œuvre de la stratégie en matière de protection des civils.
Pour M. Mulet, « l’instabilité récente dans l’Ouest du pays le long de la frontière avec le Libéria illustre la fragilité de la situation actuelle ».
« Bien qu’il existe toujours des défis considérables, la situation sécuritaire dans la zone frontalière a connu une amélioration sensible, grâce à une coopération fructueuse entre Abidjan et Monrovia, y compris pour le déploiement de leurs forces de sécurité respectives le long de la frontière », a-t-il précisé.
M. Ban, préconise également, dans un rapport sur la situation en Côte d’Ivoire présenté mardi dernier devant le Conseil de sécurité de l’Onu par le Sous-Secrétaire général aux opérations de maintien de la paix, Edmond Mulet, de renforcer les mécanismes de coopération entre l’Onuci et la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL) et l’état de la mise en œuvre de la stratégie en matière de protection des civils.
Pour M. Mulet, « l’instabilité récente dans l’Ouest du pays le long de la frontière avec le Libéria illustre la fragilité de la situation actuelle ».
« Bien qu’il existe toujours des défis considérables, la situation sécuritaire dans la zone frontalière a connu une amélioration sensible, grâce à une coopération fructueuse entre Abidjan et Monrovia, y compris pour le déploiement de leurs forces de sécurité respectives le long de la frontière », a-t-il précisé.