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Économie Publié le jeudi 25 avril 2013 | L’intelligent d’Abidjan

Cepici / Licenciement - 21 agents demandent la clémence du chef de l’Etat

© L’intelligent d’Abidjan Par Atapointe
Relance économique: Le Cepici s`appuie sur l`expérience de Oxford business group.
Jeudi 29 novembre 2012. Abidjan. le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire signe un partenariat avec le cabinet Oxford business group afin d`obtenir un outil fiable pour mieux convaincre les investisseurs étrangers.
Vingt et un (21) travailleurs au CEPICI (Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire) ont été licenciés pour motif économique. Certaines voient dans la procédure de licenciement des irrégularités et dénoncent un règlement de compte. Quand d’autres travailleurs concernés trouvent aberrant qu’au même moment où ils sont licenciés pour motif économique, un cabinet fait un recrutement de personnel. «Nous nous opposons à la thèse de motif économique. Mais, au regard de ce qui se passe, nous nous estimons que le problème se trouve ailleurs…», a confié une source du dossier. Qui dit ne pas apprécier la procédure de licenciement. En effet, contrairement aux procédures habituelles, les noms des personnes mises au chômage font l’objet d’un affichage. Mais tel n’a pas été le cas pour ces 21 personnes. C’est seulement au téléphone qu’elles ont été informées. Au-delà de cet aspect, les 21 personnes demandent leur réintégration. Pour ce faire, elles sollicitent la clémence du chef de l’Etat. Vu que la structure veut créer des représentations à l’intérieur du pays, elles estiment que c’est l’occasion, au contraire de renforcer le personnel existant. «On nous a indiqué que c’est la Présidence de la République qui se charge de ce dossier. N’ayant plus de voix de recours, nous avons choisi, par voix de presse, d’attirer l’attention de nos autorités. Afin qu’elles se penchent sur notre cas. Nous ne sommes pas là pour dénigrer, mais pour demander notre réintégration», a confié un agent déflaté sous l’anonymat. Pour cette vague de déflatés, les structures concernées sont la Direction des Affaires administratives et financières, direction de la communication, services des ressources humaines. Et mêmes les chauffeurs des responsables de ces services n’ont pas été épargnés.
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