Deux vandales, élèves en classe de terminale au collège Albert Einstein de Yamoussoukro, interpellés par la police, à la suite de violences et de vandalisme perpétrés lors de la récente grève de l’Intersyndicale de l’éducation-formation, ont été condamnés, jeudi, par le tribunal de première instance de Toumodi, à six mois de prison avec sursis, a appris l’AIP, de source policière.
Ces deux élèves, dirigeant un groupuscule d'autres vandales, se seraient illustrés dans ce mouvement en délogeant par la force des élèves au cours, aux collèges Héléis et Gandhi, et auraient même agressé et blessé, à l'aide de projectiles, un éducateur, un élève et un vigile au collège Gandhi.
Interpellés, le 15 avril, et gardés à vue au commissariat du premier arrondissement, leurs camarades ont tenté, trois jours plus tard, d’envahir le commissariat en vue de réclamer leur libération, et ont été dispersés par la police, à coups de gaz lacrymogène. Ceux-ci auraient été mis sous mandat de dépôt le même jour dans la matinée, au tribunal de première instance de Toumodi d’où ils seraient sortis, jeudi, pour être jugés et condamnés.
A Yamoussoukro, la grève des enseignants a provoqué l’ire d’élèves des établissements publics n’allant plus à l’école. En réponse à la situation, ces derniers décident alors d’empêcher leurs camarades du privé de recevoir des enseignements, a-t-on justifié.
Ces deux élèves, dirigeant un groupuscule d'autres vandales, se seraient illustrés dans ce mouvement en délogeant par la force des élèves au cours, aux collèges Héléis et Gandhi, et auraient même agressé et blessé, à l'aide de projectiles, un éducateur, un élève et un vigile au collège Gandhi.
Interpellés, le 15 avril, et gardés à vue au commissariat du premier arrondissement, leurs camarades ont tenté, trois jours plus tard, d’envahir le commissariat en vue de réclamer leur libération, et ont été dispersés par la police, à coups de gaz lacrymogène. Ceux-ci auraient été mis sous mandat de dépôt le même jour dans la matinée, au tribunal de première instance de Toumodi d’où ils seraient sortis, jeudi, pour être jugés et condamnés.
A Yamoussoukro, la grève des enseignants a provoqué l’ire d’élèves des établissements publics n’allant plus à l’école. En réponse à la situation, ces derniers décident alors d’empêcher leurs camarades du privé de recevoir des enseignements, a-t-on justifié.