Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara n’a pas écarté samedi l’idée de la formation d’un nouveau gouvernement dans les prochains jours, après les élections régionales et municipales du 21 avril dernier.
Au cours d’une conférence de presse, destinée à dresser le bilan de sa visite d’Etat de 72 heures dans la région de Tonkpi à l’Ouest du pays, M. Ouattara a indiqué que les prochains jours ne seront pas ‘’forcément’’ marqués par la formation d’un nouveau gouvernement.
Cependant, a-t-il dit ‘’je me concerterai avec le Premier Ministre et nous verrons les décisions à prendre pour voir si c’est nécessaire ou pas de former un nouveau gouvernement’’.
‘’J’ai une très bonne équipe’’, a ajouté le président Ouattara en parlant de l’actuel gouvernement.
‘’Certains peuvent souhaiter aller diriger le Conseil régional. Nous devrons vérifier tout cela. Mais l’équipe actuelle me donne satisfaction’’, a insisté Alassane Ouattara.
Des membres du gouvernement ont été élus lors des élections régionales et municipales du 21 avril dernier au moment où le cumule des postes dans le pays est très dénoncé par les populations, rappelle-t-on.
LS/APA
Au cours d’une conférence de presse, destinée à dresser le bilan de sa visite d’Etat de 72 heures dans la région de Tonkpi à l’Ouest du pays, M. Ouattara a indiqué que les prochains jours ne seront pas ‘’forcément’’ marqués par la formation d’un nouveau gouvernement.
Cependant, a-t-il dit ‘’je me concerterai avec le Premier Ministre et nous verrons les décisions à prendre pour voir si c’est nécessaire ou pas de former un nouveau gouvernement’’.
‘’J’ai une très bonne équipe’’, a ajouté le président Ouattara en parlant de l’actuel gouvernement.
‘’Certains peuvent souhaiter aller diriger le Conseil régional. Nous devrons vérifier tout cela. Mais l’équipe actuelle me donne satisfaction’’, a insisté Alassane Ouattara.
Des membres du gouvernement ont été élus lors des élections régionales et municipales du 21 avril dernier au moment où le cumule des postes dans le pays est très dénoncé par les populations, rappelle-t-on.
LS/APA