Abidjan, Le président de la cellule nationale de traitement des informations financières, le colonel Adama Coulibaly, conduit la délégation ivoirienne qui prend part, du mardi au vendredi, à la 19ème réunion plénière de la commission technique du Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d'argent en Afrique de l'ouest (GIABA) qui se tient à Accra, au Ghana.
Les réunions plénières du GIABA offrent une plateforme de partage d’expériences et de discussions, entre pays membres. Des questions pertinentes qui requièrent une approche concertée, collective et harmonisée dans la mise en œuvre de mesures décisives de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, explique un communiqué de l’unité de traitement de Côte d’Ivoire transmis lundi à l’AIP.
Au cours de la plénière de mai, le projet de rapport d’évaluation mutuelle (REM) de la République de Sao Tomé & Principe sera examiné en vue de son adoption. Cette adoption conclura le premier cycle des évaluations mutuelles des 16 Etats membres (15 pays de la CEDEAO et de Sao Tomé & Principe) qui a démarré en 2006.
Par ailleurs, les rapports de suivi de neuf Etats membres feront l’objet de discussions fondées sur les analyses du secrétariat, en mettant en exergue le niveau de mise en œuvre des recommandations des REM.
Selon le document, la 19ème réunion plénière de la commission technique examinera également les recommandations formulées par le groupe de Travail sur les évaluations mutuelles et la mise en œuvre qui se penchera sur les rapports de suivi du Bénin, du Libéria, du Nigéria, du Sénégal et du Togo. Ces pays ont été placés sous le régime du suivi régulier accéléré, mais aussi sur ceux du Cap Vert, de la Gambie, de la Guinée Bissau et de la Sierra-Leone qui sont tous sous le régime de suivi renforcé.
Conformément au document des ‘’processus et procédures d’évaluation mutuelle du GIABA‘’, le processus de suivi est conçu pour aider les Etats membres à accélérer les mesures devant pallier les insuffisances identifiées dans les REM. Il permet aussi de s’assurer que des mesures de LBC/FT efficaces et conformes aux standards internationaux acceptables sont mises en place, précise le texte.
Il sera également question, au cours de la plénière d’Accra, de l’examen du rapport de suivi/évaluation du GIABA pour l’année 2012, de l’examen des rapports de synthèse des pays et de celui du rapport de typologie sur le financement du terrorisme en Afrique de l’Ouest, de la table ronde des partenaires au développement, ainsi que des questions et propositions émanant de la 18ème réunion plénière de la commission technique du GIABA.
(AIP)
kkf/kkp/cmas
Les réunions plénières du GIABA offrent une plateforme de partage d’expériences et de discussions, entre pays membres. Des questions pertinentes qui requièrent une approche concertée, collective et harmonisée dans la mise en œuvre de mesures décisives de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, explique un communiqué de l’unité de traitement de Côte d’Ivoire transmis lundi à l’AIP.
Au cours de la plénière de mai, le projet de rapport d’évaluation mutuelle (REM) de la République de Sao Tomé & Principe sera examiné en vue de son adoption. Cette adoption conclura le premier cycle des évaluations mutuelles des 16 Etats membres (15 pays de la CEDEAO et de Sao Tomé & Principe) qui a démarré en 2006.
Par ailleurs, les rapports de suivi de neuf Etats membres feront l’objet de discussions fondées sur les analyses du secrétariat, en mettant en exergue le niveau de mise en œuvre des recommandations des REM.
Selon le document, la 19ème réunion plénière de la commission technique examinera également les recommandations formulées par le groupe de Travail sur les évaluations mutuelles et la mise en œuvre qui se penchera sur les rapports de suivi du Bénin, du Libéria, du Nigéria, du Sénégal et du Togo. Ces pays ont été placés sous le régime du suivi régulier accéléré, mais aussi sur ceux du Cap Vert, de la Gambie, de la Guinée Bissau et de la Sierra-Leone qui sont tous sous le régime de suivi renforcé.
Conformément au document des ‘’processus et procédures d’évaluation mutuelle du GIABA‘’, le processus de suivi est conçu pour aider les Etats membres à accélérer les mesures devant pallier les insuffisances identifiées dans les REM. Il permet aussi de s’assurer que des mesures de LBC/FT efficaces et conformes aux standards internationaux acceptables sont mises en place, précise le texte.
Il sera également question, au cours de la plénière d’Accra, de l’examen du rapport de suivi/évaluation du GIABA pour l’année 2012, de l’examen des rapports de synthèse des pays et de celui du rapport de typologie sur le financement du terrorisme en Afrique de l’Ouest, de la table ronde des partenaires au développement, ainsi que des questions et propositions émanant de la 18ème réunion plénière de la commission technique du GIABA.
(AIP)
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