Bouaké - Huit cent cinquante six ex-combattants démobilisés ont été réinsérés dans les secteurs du transport et de l’agropastorale, à l’occasion d’une cérémonie de lancement des opérations de réinsertion organisée à Bouaké,
Ces ex-combattants ont reçu leurs lettres de confirmation de l’assistance technique et financière des mains du directeur général de l’Autorité de désarmement démobilisation et réintégration (ADDR), Fidèle Sarassoro, mardi au foyer jeune Viateur en présence des autorités administratives et coutumières locales.
Les démobilisés de l’agropastorale formés à l’Institut national de technique agricole (INTA) d’Azaguié ont reçu également des carnets de compte de 800.000 F comme fonds de roulement pour la production de riz, de maïs ou l'élevage de volailles ou de petits ruminants.
Les bénéficiaires du secteur transport ont reçu pour leur part des bons de formation à l’obtention du permis de conduire. Ils recevront chacun un moto-tricycle pour le transport des produits agricoles et l’approvisionnement des marchés.
"Ce n’est pas la dernière opération, on a une succession d’activités", a rassuré le directeur général de l’ADDR qui promet réinsérer, pour cette année, 30.000 ex combattants et 35.000 l’année prochaine, pour atteindre les 65.000 démobilisés recensés en Côte d’Ivoire.
Le premier responsable de l’ADDR dit avoir obtenir 6.500 postes dans l’administration publique et 1,6 milliard de FCFA du Fonds international du développement agricole (FIDA) pour continuer l’opération de réinsertion.
"Le coût de la réinsertion est de 90 milliards de FCFA, une partie viendra de l’Etat de Côte d’Ivoire et une autre partie des partenaires", a fait savoir Fidèle Sarassoro qui a demandé aux ex-combattants d’éviter les mouvements d’humeur qui retardent le processus et rendent difficile la mobilisation des ressources.
"Evitez les manifestations, donnez nous un espace de sérénité, afin de permettre à la structure de travailler à votre réinsertion rapide", a plaidé Fdèle Sarassoro.
Créée le 08 août 2012, l’ADDR est sous l’autorité du président de la République et travaille à lutter contre l’insécurité et à créer les conditions d’une paix durable en Côte d’Ivoire.
Ces ex-combattants ont reçu leurs lettres de confirmation de l’assistance technique et financière des mains du directeur général de l’Autorité de désarmement démobilisation et réintégration (ADDR), Fidèle Sarassoro, mardi au foyer jeune Viateur en présence des autorités administratives et coutumières locales.
Les démobilisés de l’agropastorale formés à l’Institut national de technique agricole (INTA) d’Azaguié ont reçu également des carnets de compte de 800.000 F comme fonds de roulement pour la production de riz, de maïs ou l'élevage de volailles ou de petits ruminants.
Les bénéficiaires du secteur transport ont reçu pour leur part des bons de formation à l’obtention du permis de conduire. Ils recevront chacun un moto-tricycle pour le transport des produits agricoles et l’approvisionnement des marchés.
"Ce n’est pas la dernière opération, on a une succession d’activités", a rassuré le directeur général de l’ADDR qui promet réinsérer, pour cette année, 30.000 ex combattants et 35.000 l’année prochaine, pour atteindre les 65.000 démobilisés recensés en Côte d’Ivoire.
Le premier responsable de l’ADDR dit avoir obtenir 6.500 postes dans l’administration publique et 1,6 milliard de FCFA du Fonds international du développement agricole (FIDA) pour continuer l’opération de réinsertion.
"Le coût de la réinsertion est de 90 milliards de FCFA, une partie viendra de l’Etat de Côte d’Ivoire et une autre partie des partenaires", a fait savoir Fidèle Sarassoro qui a demandé aux ex-combattants d’éviter les mouvements d’humeur qui retardent le processus et rendent difficile la mobilisation des ressources.
"Evitez les manifestations, donnez nous un espace de sérénité, afin de permettre à la structure de travailler à votre réinsertion rapide", a plaidé Fdèle Sarassoro.
Créée le 08 août 2012, l’ADDR est sous l’autorité du président de la République et travaille à lutter contre l’insécurité et à créer les conditions d’une paix durable en Côte d’Ivoire.