Bongouanou - Les autorités administratives et les responsables d’éducation de la direction régionale de Bongouanou (est, région du N’Zi), face aux violences survenues dans les mois de mars et d’avril au lycée moderne ont appelé lundi, à imposer une discipline plus stricte aux élèves.
Des chefs d’établissements aux directeurs et chefs de service, tous sont unanimes face aux récentes violences "qu’il s’impose de prendre des mesures disciplinaires".
" Les enfants il faut les éduquer pour former les bons citoyens de demain", a affirmé le préfet de Bongouanou, Mme Nemlin Houandé.
Ils veulent à cet effet faire payer les élèves responsables de casses, engager la responsabilité directe des parents ou des tuteurs légaux de ces élèves afin de les amener à mieux les suivre à la maison, engager la responsabilité indirecte des chefs de village ou de quartier dont sont originaires les parents des élèves afin que toute la communauté s’implique dans la bonne marche de l’école.
"Nous demandons à l’ensemble des chefs d’établissement de faire figurer obligatoirement la signature des parents d’élèves sur les fiches d’inscription des élèves, dès la rentrée prochaine", a exhorté Mme le préfet.
Durant les mois de mars et d’avril, les nombreux mouvements de grève des élèves ont eu pour conséquence la perturbation des cours, la non tenue des examens blancs au lycée moderne, de nombreux dégâts matériels et un affrontement entre élèves et forces de l’ordre, rappelle-t-on.
Des chefs d’établissements aux directeurs et chefs de service, tous sont unanimes face aux récentes violences "qu’il s’impose de prendre des mesures disciplinaires".
" Les enfants il faut les éduquer pour former les bons citoyens de demain", a affirmé le préfet de Bongouanou, Mme Nemlin Houandé.
Ils veulent à cet effet faire payer les élèves responsables de casses, engager la responsabilité directe des parents ou des tuteurs légaux de ces élèves afin de les amener à mieux les suivre à la maison, engager la responsabilité indirecte des chefs de village ou de quartier dont sont originaires les parents des élèves afin que toute la communauté s’implique dans la bonne marche de l’école.
"Nous demandons à l’ensemble des chefs d’établissement de faire figurer obligatoirement la signature des parents d’élèves sur les fiches d’inscription des élèves, dès la rentrée prochaine", a exhorté Mme le préfet.
Durant les mois de mars et d’avril, les nombreux mouvements de grève des élèves ont eu pour conséquence la perturbation des cours, la non tenue des examens blancs au lycée moderne, de nombreux dégâts matériels et un affrontement entre élèves et forces de l’ordre, rappelle-t-on.