ABIDJAN - Des attaques successives d’inconnus armés contre des postes militaires ont fait au moins quatre morts à l’est du pays, a appris Xinhua mercredi auprès des habitants.
A en croire ceux-ci, un commando armé non identifié a mené un assaut nocturne contre le commissariat de police et la base militaire d’Abengourou (est, 210 km d’Abidjan), faisant au moins un mort parmi les assaillants.
Cette attaque a été précédée d’une autre, à un corridor tenu par les éléments des Forces républicaines de Côte d’ivoire (FRCI) à Yakassé-Attobrou (sud-est, 100 kms d’Abidjan), où des hommes puissamment armés ont ouvert le feu sur des militaires qu’ils ont pris pour cible.
L’attaque avait fait trois morts dont un soldat des FRCI et deux jeunes villageois que les quidams ont abattus dans leur fuite.
La résurgence de la violence après une période d’accalmie a créé la psychose au sein des populations.
Quelques mois auparavant, des villages de la région frontalière de l’ouest avaient été le théâtre d’attaques d’inconnus armés qui avaient fait une quinzaine de morts.
A en croire ceux-ci, un commando armé non identifié a mené un assaut nocturne contre le commissariat de police et la base militaire d’Abengourou (est, 210 km d’Abidjan), faisant au moins un mort parmi les assaillants.
Cette attaque a été précédée d’une autre, à un corridor tenu par les éléments des Forces républicaines de Côte d’ivoire (FRCI) à Yakassé-Attobrou (sud-est, 100 kms d’Abidjan), où des hommes puissamment armés ont ouvert le feu sur des militaires qu’ils ont pris pour cible.
L’attaque avait fait trois morts dont un soldat des FRCI et deux jeunes villageois que les quidams ont abattus dans leur fuite.
La résurgence de la violence après une période d’accalmie a créé la psychose au sein des populations.
Quelques mois auparavant, des villages de la région frontalière de l’ouest avaient été le théâtre d’attaques d’inconnus armés qui avaient fait une quinzaine de morts.