Il y’avait du beau monde, le mercredi 22 Mai 2013, à la cité du cinéma à Paris. Ancien Président, Premières Dames, Diplomates, Ministres, hommes politiques, chefs d’entreprises, hommes de média, hommes de culture, au total, plus de 450 invités se sont donné rendez-vous, malgré le temps pluvieux de Paris, au dîner en l’honneur d’Unitaid sur le thème : « la solidarité sauvera le monde ».
Créé en septembre 2006 à New-York sous l’impulsion des anciens Présidents Français Jacques Chirac et Brésilien Luiz Inacio Lula Da Silva, l’Unitaid a pour mission de contribuer à l’extension de l’accès des populations des pays en développement au traitement du VIH/sida, du paludisme et de la tuberculose, en s’employant à faire baisser le prix des médicaments et des produits de qualité et en accélérant leur mise à disposition. En somme l’Unitaid est destiné à lutter principalement contre les pandémies (Sida, Paludisme, Tuberculose) à l’origine de 6 millions de morts par an dans le monde. C’est donc à ce rendez-vous de la solidarité internationale au profit des pays en voie de développement que le gotha du monde politique, économique et de l’art s’est retrouvé sur les bords de la Seine.
Exposition photos et décoration sobre mais évocatrice, le tout artistiquement embrayé ont constitué l’essentiel de la cérémonie. A l’honneur le Président Bill Clinton, 42ème Président des Etats-Unis et Fondateur de la «Clinton Foundation» et ami du français Philippe Douste Blazy, Secrétaire général adjoint des Nations Unies. A ses côtés, Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire, seul pays en développement sur la table d’honneur. Sur la short liste autour du 42ème Président américain se trouvent également la Première Dame de la République Française, Valérie Trierweiler, le couple Douste-Blazy, les ministres français, Pierre Moscovici (Economie et finances), Christiane Taubira (Garde des sceaux), Yamina Benguigui (Francophonie), Luc Besson (grand réalisateur) etc. Et comme pour parler de choses sérieuses, il faut prendre de la hauteur. Madame Dominique Ouattara a rejoint dès son arrivée les invités VIP dont le Président Bill Clinton au niveau 1 de la splendide bâtisse de la cité du cinéma, une salle aménagée à cet effet. A cette occasion, la Première Dame de Côte d’Ivoire et le Président Bill Clinton ont échangé, et rappelé des souvenirs.
« J’ai été heureux de retrouver le Président Bill Clinton que je n’avais plus revu depuis un bon moment. Je l’avais rencontré lorsque mon époux, le Président de la République était Directeur général adjoint du FMI. Il connaît bien mon époux, il m’a dit que le Président Alassane est le bon économiste qu’il fallait à la Côte d’Ivoire. Nous avons ensuite beaucoup parlé d’humanitaire. Il a promis venir en Côte d’Ivoire », a confié à la presse Madame Dominique Ouattara.
Lorsque le Président Clinton franchit la salle d’entrée du dîner, les invités se lèvent pour un standing ovation. Après avoir salué la présence distinguée des deux Premières Dames, Bill Clinton a rendu hommage aux Français et surtout aux gouvernements successifs depuis Jacques Chirac jusqu’à François Hollande qui ont accepté une taxe de solidarité sur les billets d’avion à partir de la France, principale source de financement d’Unitaid.
Bien avant, l’honneur est revenu à Philippe Douste-Blazy, PCA de Unitaid de conter la grande marche de cette organisation de solidarité avec le Président français Jacques Chirac et le Président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva à ce jour et comment en achetant des billets d’avion à partir de la France, des milliers de personnes ont été sauvées dans les pays en développement à travers les programmes des Nations Unies dont l’Oms et l’Unicef. Bilan positif, selon Philippe Douste-Blazy : « Les temps ont changé. Grâce à notre travail et à celui de nos partenaires, la situation se redresse. Les taux d’infection au Vih ont baissé dans plusieurs pays d’Afrique du fait d’un meilleur accès aux médicaments contre le Vih, de nouveaux médicaments et outils diagnostiques sont enfin annoncés pour la tuberculose ; le montant du financement international de la lutte contre le paludisme, qui était inférieur à 100 millions de dollars en 2000 est estimé à 1,84 milliard de dollars en 2012 ». Mais si de nouvelles sources de financement ne sont pas trouvées, les difficultés pointent à l’horizon d’où l’idée de la taxe sur les transactions financières.
Après deux heures d’horloge, les invités sont repartis avec le sentiment d’avoir contribué à l’essor d’un monde plus juste.
Créé en septembre 2006 à New-York sous l’impulsion des anciens Présidents Français Jacques Chirac et Brésilien Luiz Inacio Lula Da Silva, l’Unitaid a pour mission de contribuer à l’extension de l’accès des populations des pays en développement au traitement du VIH/sida, du paludisme et de la tuberculose, en s’employant à faire baisser le prix des médicaments et des produits de qualité et en accélérant leur mise à disposition. En somme l’Unitaid est destiné à lutter principalement contre les pandémies (Sida, Paludisme, Tuberculose) à l’origine de 6 millions de morts par an dans le monde. C’est donc à ce rendez-vous de la solidarité internationale au profit des pays en voie de développement que le gotha du monde politique, économique et de l’art s’est retrouvé sur les bords de la Seine.
Exposition photos et décoration sobre mais évocatrice, le tout artistiquement embrayé ont constitué l’essentiel de la cérémonie. A l’honneur le Président Bill Clinton, 42ème Président des Etats-Unis et Fondateur de la «Clinton Foundation» et ami du français Philippe Douste Blazy, Secrétaire général adjoint des Nations Unies. A ses côtés, Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire, seul pays en développement sur la table d’honneur. Sur la short liste autour du 42ème Président américain se trouvent également la Première Dame de la République Française, Valérie Trierweiler, le couple Douste-Blazy, les ministres français, Pierre Moscovici (Economie et finances), Christiane Taubira (Garde des sceaux), Yamina Benguigui (Francophonie), Luc Besson (grand réalisateur) etc. Et comme pour parler de choses sérieuses, il faut prendre de la hauteur. Madame Dominique Ouattara a rejoint dès son arrivée les invités VIP dont le Président Bill Clinton au niveau 1 de la splendide bâtisse de la cité du cinéma, une salle aménagée à cet effet. A cette occasion, la Première Dame de Côte d’Ivoire et le Président Bill Clinton ont échangé, et rappelé des souvenirs.
« J’ai été heureux de retrouver le Président Bill Clinton que je n’avais plus revu depuis un bon moment. Je l’avais rencontré lorsque mon époux, le Président de la République était Directeur général adjoint du FMI. Il connaît bien mon époux, il m’a dit que le Président Alassane est le bon économiste qu’il fallait à la Côte d’Ivoire. Nous avons ensuite beaucoup parlé d’humanitaire. Il a promis venir en Côte d’Ivoire », a confié à la presse Madame Dominique Ouattara.
Lorsque le Président Clinton franchit la salle d’entrée du dîner, les invités se lèvent pour un standing ovation. Après avoir salué la présence distinguée des deux Premières Dames, Bill Clinton a rendu hommage aux Français et surtout aux gouvernements successifs depuis Jacques Chirac jusqu’à François Hollande qui ont accepté une taxe de solidarité sur les billets d’avion à partir de la France, principale source de financement d’Unitaid.
Bien avant, l’honneur est revenu à Philippe Douste-Blazy, PCA de Unitaid de conter la grande marche de cette organisation de solidarité avec le Président français Jacques Chirac et le Président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva à ce jour et comment en achetant des billets d’avion à partir de la France, des milliers de personnes ont été sauvées dans les pays en développement à travers les programmes des Nations Unies dont l’Oms et l’Unicef. Bilan positif, selon Philippe Douste-Blazy : « Les temps ont changé. Grâce à notre travail et à celui de nos partenaires, la situation se redresse. Les taux d’infection au Vih ont baissé dans plusieurs pays d’Afrique du fait d’un meilleur accès aux médicaments contre le Vih, de nouveaux médicaments et outils diagnostiques sont enfin annoncés pour la tuberculose ; le montant du financement international de la lutte contre le paludisme, qui était inférieur à 100 millions de dollars en 2000 est estimé à 1,84 milliard de dollars en 2012 ». Mais si de nouvelles sources de financement ne sont pas trouvées, les difficultés pointent à l’horizon d’où l’idée de la taxe sur les transactions financières.
Après deux heures d’horloge, les invités sont repartis avec le sentiment d’avoir contribué à l’essor d’un monde plus juste.
