La Côte d’Ivoire veut se doter d’une Bourse agricole pour les produits vivriers afin de faire face aux spéculations diverses et de sécuriser la production nationale. Les principaux produits concernés seront l’igname, le sorgho, la banane, le manioc, le mil, le riz ou encore le maïs. L’objectif de cette bourse est de rendre disponibles les productions vivrières agricoles sur toute l’étendue du territoire.
Réformes des Télécommunications en Côte d’Ivoire
BILE Diéméléou, le mérite reconnu !
La Côte d’Ivoire s’achemine vers une ère moderne des TIC. En tant qu’expert dans ce domaine, Bilé Diémélou a à cœur d’inscrire son pays dans cette nouvelle dynamique. Sa nomination à la tête de l’ARTCI l’atteste.
La Côte d’Ivoire a amorcé son décollage dans le domaine des Tic. Pour ce faire, elle actualise ses textes pour se mettre au diapason des pays les plus avancés dans ce domaine. Mais, elle doit y arriver avec des experts rechignés à la tâche. C’est ainsi que depuis mai 2012, BILE Diéméléou est arrivé à la tête de l’ATCI comme Directeur général par intérim, en vue de sa transition vers l’autorité de régulation des Télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI). Mission brillamment réussie qui lui vaut sa confirmation à la tête de la nouvelle structure. Le mérite de l’expert en télécommunication a été reconnu par l’Etat de Côte d’Ivoire lors du Conseil des ministres du mercredi 22 mai dernier. BILE Diéméléou, père de l’ADSL (Asymetric digital suscriber line ou Ligne numérique d’abonné asymétrique) en Côte d’Ivoire est un passionné des télécommunications. Il a un Curriculum Vitae très riche en diplômes et en expériences dans le domaine. Marqué par l’effervescence du premier pas de l’homme sur la lune, C’est tout naturellement que pour ses études universitaires, il se spécialise dans les télécommunications. Ainsi en 1979, il achève son diplôme d’ingénieur Télécom à l’ENSTP (Ecole Nationale Supérieur des Travaux Publics). Mais il ne s’arrête pas là. Trois ans plus tard, soit en 1982, il participe à plusieurs formations, études et recherches. Cette quête du savoir le conduira à travailler dans plusieurs pays dont la Hollande, l’Allemagne et les Etats-Unis. Pendant quelques années, il parcourt le monde pour mieux se former à la pratique de son métier. C’est donc la tête pleine, qu’il rentre au bercail (en Côte d’Ivoire) pour mettre ses compétences au service de sa patrie. Le nouveau maire de Dimbokro fut d’abord enrôlé par CI-TELECOM après avoir exercé à divers postes dans le domaine des télécommunications. Dans cette Grosse boîte, il occupe le poste de Directeur de projets pour CI-TELECOM en 2002, le seul opérateur de téléphonie fixe d’alors. Par la suite, il est promu directeur commercial grand public dès 2006. Deux ans plus tard, il occupe le poste de Directeur exécutif de la SARITEL (Société Africaine de Réalisation Industrielle et de Télécommunications). On est en 2008 et il y restera jusqu’en 2011. A partir de là, jusqu’en Avril 2012, il officie comme conseiller technique du Ministre de la Poste et des T.I.C. Nommé Directeur général par intérim de l’ATCI en mai 2012, c’est avec succès qu’il opère la transition de cette structure vers l’ARTCI. Que de chemins parcourus et d’expériences amassées. C’est à juste titre qu’il est récompensé aujourd’hui en tant que Directeur général de l’ARTCI. Ne dit-on pas qu’il faut la meilleure personne à la bonne place.
A.F
Réformes des Télécommunications en Côte d’Ivoire
BILE Diéméléou, le mérite reconnu !
La Côte d’Ivoire s’achemine vers une ère moderne des TIC. En tant qu’expert dans ce domaine, Bilé Diémélou a à cœur d’inscrire son pays dans cette nouvelle dynamique. Sa nomination à la tête de l’ARTCI l’atteste.
La Côte d’Ivoire a amorcé son décollage dans le domaine des Tic. Pour ce faire, elle actualise ses textes pour se mettre au diapason des pays les plus avancés dans ce domaine. Mais, elle doit y arriver avec des experts rechignés à la tâche. C’est ainsi que depuis mai 2012, BILE Diéméléou est arrivé à la tête de l’ATCI comme Directeur général par intérim, en vue de sa transition vers l’autorité de régulation des Télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI). Mission brillamment réussie qui lui vaut sa confirmation à la tête de la nouvelle structure. Le mérite de l’expert en télécommunication a été reconnu par l’Etat de Côte d’Ivoire lors du Conseil des ministres du mercredi 22 mai dernier. BILE Diéméléou, père de l’ADSL (Asymetric digital suscriber line ou Ligne numérique d’abonné asymétrique) en Côte d’Ivoire est un passionné des télécommunications. Il a un Curriculum Vitae très riche en diplômes et en expériences dans le domaine. Marqué par l’effervescence du premier pas de l’homme sur la lune, C’est tout naturellement que pour ses études universitaires, il se spécialise dans les télécommunications. Ainsi en 1979, il achève son diplôme d’ingénieur Télécom à l’ENSTP (Ecole Nationale Supérieur des Travaux Publics). Mais il ne s’arrête pas là. Trois ans plus tard, soit en 1982, il participe à plusieurs formations, études et recherches. Cette quête du savoir le conduira à travailler dans plusieurs pays dont la Hollande, l’Allemagne et les Etats-Unis. Pendant quelques années, il parcourt le monde pour mieux se former à la pratique de son métier. C’est donc la tête pleine, qu’il rentre au bercail (en Côte d’Ivoire) pour mettre ses compétences au service de sa patrie. Le nouveau maire de Dimbokro fut d’abord enrôlé par CI-TELECOM après avoir exercé à divers postes dans le domaine des télécommunications. Dans cette Grosse boîte, il occupe le poste de Directeur de projets pour CI-TELECOM en 2002, le seul opérateur de téléphonie fixe d’alors. Par la suite, il est promu directeur commercial grand public dès 2006. Deux ans plus tard, il occupe le poste de Directeur exécutif de la SARITEL (Société Africaine de Réalisation Industrielle et de Télécommunications). On est en 2008 et il y restera jusqu’en 2011. A partir de là, jusqu’en Avril 2012, il officie comme conseiller technique du Ministre de la Poste et des T.I.C. Nommé Directeur général par intérim de l’ATCI en mai 2012, c’est avec succès qu’il opère la transition de cette structure vers l’ARTCI. Que de chemins parcourus et d’expériences amassées. C’est à juste titre qu’il est récompensé aujourd’hui en tant que Directeur général de l’ARTCI. Ne dit-on pas qu’il faut la meilleure personne à la bonne place.
A.F