Le deuxième jour de la 48 eme édition des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) ouverte lundi à Marrakech (Maroc), est marqué par la tenue d’une série de six séminaires de haut niveau articulés autour de la thématique de la session « Transformation structurelle de l’Afrique”.
Les participants - quelque 2 500 délégués, issus des 78 pays membres du groupe de la banque BAD - vont réfléchir toute la journée de ce mardi sur des thèmes divers comme : « Libérer le potentiel –financement de l'infrastructure et accélération de l'intégration régionale », croissance inclusive et durabilité –cadrage des enjeux multimédia », « Villes de l'Afrique et durabilité ».
D'autres thèmes portant sur « Ressources naturelles de l'Afrique – Où va-t-on ? », « Philanthropie et développement –Où sont les milliardaires de l'Afrique ? », « Dividende démographique ou bombe a retardement ?,
seront débattus lors des séminaires de haut niveau organisés dans le cadre des assises de la BAD qui pendront fin le 31 mai prochain.
Le conclave de la BAD qui correspond aussi à la 39e Assemblée du Fonds africain de développement (FAD) réunira des ministres des finances, les gouverneurs des banques centrales, des représentants d'institutions multilatérales de financement, d'agences de développement et d'organisations non gouvernementales (ONG), ainsi que des chefs d'entreprise.
Le Maroc a déjà abrité les Assemblées annuelles de la Banque, en 1974, à Rabat.
Lancée en 1964 dans le but de mobiliser des ressources en faveur du développement économique et social de ses pays membres régionaux, la BAD est la première institution de financement du développement dédiée exclusivement à l'Afrique. Réduire la pauvreté et promouvoir la croissance durable sont ses priorités.
En quarante-quatre ans, de 1967 au 31 décembre 2011, la Banque a approuvé 3 661 prêts et dons, pour un total de 60,06 milliards d'unités de compte – soit 92,57 milliards de dollars EU environ –, en faveur de ses pays membres régionaux.
OF/od/APA
Les participants - quelque 2 500 délégués, issus des 78 pays membres du groupe de la banque BAD - vont réfléchir toute la journée de ce mardi sur des thèmes divers comme : « Libérer le potentiel –financement de l'infrastructure et accélération de l'intégration régionale », croissance inclusive et durabilité –cadrage des enjeux multimédia », « Villes de l'Afrique et durabilité ».
D'autres thèmes portant sur « Ressources naturelles de l'Afrique – Où va-t-on ? », « Philanthropie et développement –Où sont les milliardaires de l'Afrique ? », « Dividende démographique ou bombe a retardement ?,
seront débattus lors des séminaires de haut niveau organisés dans le cadre des assises de la BAD qui pendront fin le 31 mai prochain.
Le conclave de la BAD qui correspond aussi à la 39e Assemblée du Fonds africain de développement (FAD) réunira des ministres des finances, les gouverneurs des banques centrales, des représentants d'institutions multilatérales de financement, d'agences de développement et d'organisations non gouvernementales (ONG), ainsi que des chefs d'entreprise.
Le Maroc a déjà abrité les Assemblées annuelles de la Banque, en 1974, à Rabat.
Lancée en 1964 dans le but de mobiliser des ressources en faveur du développement économique et social de ses pays membres régionaux, la BAD est la première institution de financement du développement dédiée exclusivement à l'Afrique. Réduire la pauvreté et promouvoir la croissance durable sont ses priorités.
En quarante-quatre ans, de 1967 au 31 décembre 2011, la Banque a approuvé 3 661 prêts et dons, pour un total de 60,06 milliards d'unités de compte – soit 92,57 milliards de dollars EU environ –, en faveur de ses pays membres régionaux.
OF/od/APA