Yamoussoukro – Un pluie diluvienne qui s'est abattue lundi sur la ville de Yamoussoukro a emporté un enfant de 12 ans, a appris l'AIP sur place auprès de témoins.
La première victime connue des pluies diluviennes qui s’abattent ces temps-ci sur Yamoussoukro est Cheick Diop, 12 ans, de nationalité sénégalaise, élève au groupe scolaire Camp militaire de Yamoussoukro.
Le drame s’est produit au quartier Thérèse aux environs de 17 H. Sous la pluie torrentielle tombée sur la capitale politique et administrative ivoirienne, le gamin qui était en compagnie de son frère cadet, voulant récupérer ses chaussures au bord d’un caniveau, a glissé pour se retrouver dans le torrent tumultueux qui coulait dans la canalisation, rapportent les mêmes sources.
Les spectateurs impuissants ont fait appel aux sapeurs pompiers de la 5ème compagnie de Yamoussoukro qui n’ont pu retrouver la victime déjà sans doute engloutie dans les eaux du lac face à la résidence de Mme Thérèse Houphouët-Boigny, lac proche du quartier Thérèse.
« S’il arrive déjà mort dans le lac, les crocodiles ne toucheront pas à son corps qui pourrait remonter à la surface de l’eau d’ici demain », prédisent des autochtones, habitants du quartier Thérèse.
La première victime connue des pluies diluviennes qui s’abattent ces temps-ci sur Yamoussoukro est Cheick Diop, 12 ans, de nationalité sénégalaise, élève au groupe scolaire Camp militaire de Yamoussoukro.
Le drame s’est produit au quartier Thérèse aux environs de 17 H. Sous la pluie torrentielle tombée sur la capitale politique et administrative ivoirienne, le gamin qui était en compagnie de son frère cadet, voulant récupérer ses chaussures au bord d’un caniveau, a glissé pour se retrouver dans le torrent tumultueux qui coulait dans la canalisation, rapportent les mêmes sources.
Les spectateurs impuissants ont fait appel aux sapeurs pompiers de la 5ème compagnie de Yamoussoukro qui n’ont pu retrouver la victime déjà sans doute engloutie dans les eaux du lac face à la résidence de Mme Thérèse Houphouët-Boigny, lac proche du quartier Thérèse.
« S’il arrive déjà mort dans le lac, les crocodiles ne toucheront pas à son corps qui pourrait remonter à la surface de l’eau d’ici demain », prédisent des autochtones, habitants du quartier Thérèse.