Le Cap (Afrique du Sud) – La sécurité dans l’aviation en Afrique constitue une priorité pour l’Association internationale du transport aérien (IATA), affirme le premier vice-président du département Sécurité, Opérations et Infrastructure, Günther Matschnigg.
Lors d’une conférence de presse tenue mardi à l’occasion de la 69ème Assemblée générale annuelle de l’IATA et du Sommet mondial du transport aérien, au Cap (Afrique du Sud), M. Günther s’est réjoui de la réduction globale des accidents observée l’an dernier.
Avec une perte de deux avions en 2012 contre trois à la même période, cette année, soit un taux de 0,20 accident sur un million de vols contre 0,30 en 2013, les membres de l’IATA ont connu 0,00 accident en 2012.
Ainsi, pour améliorer les performances des compagnies africaines, IATA et l’Organisation internationale de l’aviation civile (ICAO), en partenariat avec l’Association africaine des compagnies aériennes (AFRAA), la Commission africaine de l’aviation civile (AFCAC) et le Conseil international des aéroports (ACI), ont établi un groupe de travail pour lutter contre le taux d’accidents dans le secteur.
Ce groupe a analysé 56 accidents survenus en Afrique en général sur des vols commerciaux, et effectué des statistiques. Il en ressort que les facteurs principaux de ces accidents sont liés au manque de régulation, de mise en œuvre de l’analyse des données du vol et du respect des directives du système de sécurité. Les accidents sont dus principalement à la sécurité des pistes et à la perte de contrôle.
Aussi, Günther Matschnigg exhorte-t-il les opérateurs du transport aérien en Afrique à mettre la sécurité au centre de leurs priorités, et surtout à s’engager pour la certification IOSA (IATA operational safety audit), un standard sérieux qui, s’il est obtenu, permet de réduire drastiquement les risques d’accident.
L’IATA compte 240 compagnies aériennes membres.
Lors d’une conférence de presse tenue mardi à l’occasion de la 69ème Assemblée générale annuelle de l’IATA et du Sommet mondial du transport aérien, au Cap (Afrique du Sud), M. Günther s’est réjoui de la réduction globale des accidents observée l’an dernier.
Avec une perte de deux avions en 2012 contre trois à la même période, cette année, soit un taux de 0,20 accident sur un million de vols contre 0,30 en 2013, les membres de l’IATA ont connu 0,00 accident en 2012.
Ainsi, pour améliorer les performances des compagnies africaines, IATA et l’Organisation internationale de l’aviation civile (ICAO), en partenariat avec l’Association africaine des compagnies aériennes (AFRAA), la Commission africaine de l’aviation civile (AFCAC) et le Conseil international des aéroports (ACI), ont établi un groupe de travail pour lutter contre le taux d’accidents dans le secteur.
Ce groupe a analysé 56 accidents survenus en Afrique en général sur des vols commerciaux, et effectué des statistiques. Il en ressort que les facteurs principaux de ces accidents sont liés au manque de régulation, de mise en œuvre de l’analyse des données du vol et du respect des directives du système de sécurité. Les accidents sont dus principalement à la sécurité des pistes et à la perte de contrôle.
Aussi, Günther Matschnigg exhorte-t-il les opérateurs du transport aérien en Afrique à mettre la sécurité au centre de leurs priorités, et surtout à s’engager pour la certification IOSA (IATA operational safety audit), un standard sérieux qui, s’il est obtenu, permet de réduire drastiquement les risques d’accident.
L’IATA compte 240 compagnies aériennes membres.