Abidjan, 06 juin (AIP)- La ministre de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine, s’est s’engagée mercredi à accompagner une étude sur la question du language haineux et des propos dangereux susceptibles de faire éclater la violence, sous la direction des experts d’une Ong américaine, Freedom House.
"Le ministère de la Communication se veut un acteur de la réconciliation et de la reconstruction nationale. Nous œuvrons pour ce faire à la sensibilisation des médias, à l’éducation des populations à travers lesdits médias et à l’accompagnement de toutes les initiatives qui favorisent l’apaisement et le langage de la paix", a-t-elle indiqué à ces spécialistes au cours d’une séance de travail à son cabinet au Plateau.
Pour le ministre, "cette étude impactera la Côte d’Ivoire qui est en train de soigner ses plaies héritées d’une crise relativement violente".
Elle a conseillé à ses hôtes de s’intéresser également au secteur de l’enseignement "afin d’inculquer très tôt aux jeunes la culture de la paix et de la non-violence et celui de la formation des journalistes en particulier".
Me Affoussiata Bamba-Lamine a souhaité que les conclusions de cette étude soient mises à la disposition du gouvernement qui pourrait l’utiliser pour enrichir sa politique de réconciliation nationale.
Freedom House est une Ong qui œuvre depuis 1941, en faveur de la liberté dans le monde par la recherche, l’analyse, le plaidoyer et l’action. Le bureau d’Abidjan est ouvert depuis août 2012 et est dirigé par Sabina Vigani.
"Le ministère de la Communication se veut un acteur de la réconciliation et de la reconstruction nationale. Nous œuvrons pour ce faire à la sensibilisation des médias, à l’éducation des populations à travers lesdits médias et à l’accompagnement de toutes les initiatives qui favorisent l’apaisement et le langage de la paix", a-t-elle indiqué à ces spécialistes au cours d’une séance de travail à son cabinet au Plateau.
Pour le ministre, "cette étude impactera la Côte d’Ivoire qui est en train de soigner ses plaies héritées d’une crise relativement violente".
Elle a conseillé à ses hôtes de s’intéresser également au secteur de l’enseignement "afin d’inculquer très tôt aux jeunes la culture de la paix et de la non-violence et celui de la formation des journalistes en particulier".
Me Affoussiata Bamba-Lamine a souhaité que les conclusions de cette étude soient mises à la disposition du gouvernement qui pourrait l’utiliser pour enrichir sa politique de réconciliation nationale.
Freedom House est une Ong qui œuvre depuis 1941, en faveur de la liberté dans le monde par la recherche, l’analyse, le plaidoyer et l’action. Le bureau d’Abidjan est ouvert depuis août 2012 et est dirigé par Sabina Vigani.
