Dimbokro -La Plateforme de la société civile, composante de soutien de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) locale, déplore le non-paiement de ses missions de réconciliation.
"Nous allons travailler avec nos camarades de la CDVR qui bénéficient d'une prime de transport pour les rencontres de groupes et les réunions formelles, et nous devons payer nos déplacements de nos poches. Pourtant, nous avons tous été installés par la CDVR. Il y a deux poids, deux mesures", a dénoncé dimanche le président de la Plateforme de la société civile, M. Kramo Roméo.
La CDVR locale et la Plateforme ont organisé une réunion pour planifier leur programme de consultation des populations, en vue de recueillir leurs avis et propositions relatifs à la réconciliation des ivoiriens après la crisepostélectorale de 2010.
L'agenda de travail exige des rencontres communautaires (des groupes de 30 à 45 personnes) au quotidien et des "focus group" de six à 12 personnes ainsi que des réunions de synthèse tous les dimanches au siège de la CDVRlocale sis au quartier commerce de Dimbokro, explique-t-il.
M. Kramo a demandé au président de la CDVR locale de plaider pour que la CDVR puisse leur octroyer un budget pour assurer les déplacements des membres de la Plateforme de la société civile pour une réussite de leur mission dans le N'Zi.
Les membres de la Plateforme de la société civile et ceux de la CDVR ont formé des groupes de consultation qui doivent sillonner les villes de la région du N'Zi, pendant deux mois, dans leur mission de collecte des opinions des populations pour la réconciliation.
(AIP)
SS/kkp/kp
"Nous allons travailler avec nos camarades de la CDVR qui bénéficient d'une prime de transport pour les rencontres de groupes et les réunions formelles, et nous devons payer nos déplacements de nos poches. Pourtant, nous avons tous été installés par la CDVR. Il y a deux poids, deux mesures", a dénoncé dimanche le président de la Plateforme de la société civile, M. Kramo Roméo.
La CDVR locale et la Plateforme ont organisé une réunion pour planifier leur programme de consultation des populations, en vue de recueillir leurs avis et propositions relatifs à la réconciliation des ivoiriens après la crisepostélectorale de 2010.
L'agenda de travail exige des rencontres communautaires (des groupes de 30 à 45 personnes) au quotidien et des "focus group" de six à 12 personnes ainsi que des réunions de synthèse tous les dimanches au siège de la CDVRlocale sis au quartier commerce de Dimbokro, explique-t-il.
M. Kramo a demandé au président de la CDVR locale de plaider pour que la CDVR puisse leur octroyer un budget pour assurer les déplacements des membres de la Plateforme de la société civile pour une réussite de leur mission dans le N'Zi.
Les membres de la Plateforme de la société civile et ceux de la CDVR ont formé des groupes de consultation qui doivent sillonner les villes de la région du N'Zi, pendant deux mois, dans leur mission de collecte des opinions des populations pour la réconciliation.
(AIP)
SS/kkp/kp