Abidjan – Le président de la Commission de la CEDEAO, Désiré Kadré Ouédraogo a appelé, mercredi, à dénoncer tous les cas de non application des protocoles de libre circulation aux frontières des Etats membres.
« Tous les produits du cru doivent circuler librement sans droit de douane et sans contingentement à travers les frontières de nos communautés », a tenu à rappeler le président de la Commission de la CEDEAO.
M. Ouédraogo s’exprimait lors d’un petit déjeuner de presse organisé en collaboration avec l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) sur « La construction de la CEDEAO des peuples en pratique ».
« Si un Etat ne respecte pas cela, il viole le protocole de la CEDEAOo », a-t-il martelé à l’occasion de cette rencontre qui se tenait en marges des assises de l’organisation à Abidjan notamment la 13ème réunion du comité de l’administration et des finances (CAF) de la CEDEAO et la 70ème session ordinaire du Conseil des Ministres de l’organisation.
« Dénoncez toutes les pratiques qui ne sont pas normales, apportez cela à notre attention et la Commission de la CEDEAO est prête à examiner toutes les plaintes ou toutes les indications de non respect des protocoles pour que nous puissions faire en sorte que ces protocoles soient respectés », a-t-il insisté, tout en reconnaissant les difficultés liées à l’application de ces protocoles sur le terrain.
Kadré Désiré Ouédraogo a surtout invité les citoyens à s’impliquer pour obtenir cette application, notamment les Gouvernements, la société civile, les transporteurs, les syndicats. « Je pense que c’est un combat collectif, il faudrait que nous nous engagions tous », a-t-il souligné.
Le président de la Commission de la CEDEAO a également annoncé l’installation aux postes de contrôle juxtaposés aux frontières, des bureaux d’informations du citoyen à la frontière afin qu’il puisse s’informer sur leurs droits et que personne vienne les violer. « Il faut travail à la formation et au renforcement de capacité de l’administration », a-t-il reconnu, indiquant que très souvent, certains douaniers ne sont pas informés des l’existence des protocoles.
Plusieurs protocoles sur la libre circulation et sur le droit de résidence et d’établissement existent et sont en cours de révision. Leur application reste encore difficile aux postes frontières, indique-t-on.
« Tous les produits du cru doivent circuler librement sans droit de douane et sans contingentement à travers les frontières de nos communautés », a tenu à rappeler le président de la Commission de la CEDEAO.
M. Ouédraogo s’exprimait lors d’un petit déjeuner de presse organisé en collaboration avec l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) sur « La construction de la CEDEAO des peuples en pratique ».
« Si un Etat ne respecte pas cela, il viole le protocole de la CEDEAOo », a-t-il martelé à l’occasion de cette rencontre qui se tenait en marges des assises de l’organisation à Abidjan notamment la 13ème réunion du comité de l’administration et des finances (CAF) de la CEDEAO et la 70ème session ordinaire du Conseil des Ministres de l’organisation.
« Dénoncez toutes les pratiques qui ne sont pas normales, apportez cela à notre attention et la Commission de la CEDEAO est prête à examiner toutes les plaintes ou toutes les indications de non respect des protocoles pour que nous puissions faire en sorte que ces protocoles soient respectés », a-t-il insisté, tout en reconnaissant les difficultés liées à l’application de ces protocoles sur le terrain.
Kadré Désiré Ouédraogo a surtout invité les citoyens à s’impliquer pour obtenir cette application, notamment les Gouvernements, la société civile, les transporteurs, les syndicats. « Je pense que c’est un combat collectif, il faudrait que nous nous engagions tous », a-t-il souligné.
Le président de la Commission de la CEDEAO a également annoncé l’installation aux postes de contrôle juxtaposés aux frontières, des bureaux d’informations du citoyen à la frontière afin qu’il puisse s’informer sur leurs droits et que personne vienne les violer. « Il faut travail à la formation et au renforcement de capacité de l’administration », a-t-il reconnu, indiquant que très souvent, certains douaniers ne sont pas informés des l’existence des protocoles.
Plusieurs protocoles sur la libre circulation et sur le droit de résidence et d’établissement existent et sont en cours de révision. Leur application reste encore difficile aux postes frontières, indique-t-on.