Eloigné des stades pendant de longs mois pour cause de blessure (genou), Max Gradel poursuit son traitement. Mais, l'International ivoirien ne manque pas l'occasion de se rapprocher de ses fans. Samedi dernier, il a été invité à Bonon (Bouaflé) par le manager de Aruna Dindane. Dans un entretien à bâtons rompus, il évoque son avenir, la sélection et bien sûr ses admirateurs.
Vous n'avez pas hésité à vous rendre dans le pays profond (Bouaflé), malgré toutes les difficultés que cela comporte (ndlr: mauvais état des routes et des pistes). Comment peut-on expliquer cette disponibilité?
Tout d'abord, on est venu là, parce qu'on nous a sollicités. Ensuite, on a imaginé la joie que notre présence allait procurer à toutes ces personnes qui n'ont pas toujours l'opportunité de nous voir de près. J'étais content de les voir heureux en nous voyant. C'est ce qu'on peut faire pour eux. On est prêt à refaire ce genre d'action pour leur montrer qu'on pense à eux autant qu'ils pensent à nous. C'est une manière de leur dire merci pour le soutien qu'ils nous témoignent.
La plupart des jeunes veulent vous ressembler. Là-dessus, vous vous sentez investi d'une grande responsabilité?
Nous sommes des ambassadeurs. Qu'on le veuille ou pas, nous sommes des exemples. Il nous appartient de montrer le bon chemin en faisant ce genre d'actions. C'est la preuve qu'on pense à tout le monde.
Comment vivez-vous cette longue absence chez les Eléphants?
Sincèrement, c'était très difficile au départ. Avec le temps, on comprend. On en profite aussi pour se reposer, pour recharger les batteries. Ce genre de blessure, ça n'arrive pas toujours. J'en profite, je me repose bien. J'espère revenir plus fort.
En club, sans vous, Saint-Etienne a remporté la Coupe de la Ligue et terminé à la 5ème place de Ligue 1. Vous vous contentez de ce bilan ou bien il y a plutôt un peu de regret?
Mon absence en club s'est fait sentir. C'était difficile au départ de vivre cela. Après, mes coéquipiers ont fait le nécessaire. Nous avons remporté un trophée. C'est très positif, car ce n'était pas dans les objectifs du club en début de saison. En Championnat, on a fait mieux que la saison dernière. On a travaillé dur pour y arriver. La saison prochaine, on va se remettre au boulot. On espère qu'on fera mieux que cette année.
Voilà, deux ans que vous avez quitté l'Angleterre. Envisagez-vous de rejoindre la Premier League, ce championnat considéré comme le plus "hot" de la planète foot?
Je ne suis pas obnubilé par un retour en Angleterre. Le plus important, c'est d'être dans un bon club et gagner des titres. Peu importe le championnat. Si j'avance et j'évolue, c'est le plus important. L'Angleterre, c'est un pays que j'ai aimé. Pourquoi je ne retournerai pas?
A Saint-Etienne, vous entretenez des liens très étroits avec Aubameyang. C'est quoi l'histoire de cette complicité?
Aubameyang est comme un petit frère pour moi. Il est Gabonais, donc un Africain au même titre que moi. On s'entend super bien. Mais, je m'entends avec tout le monde. Aussi bien avec Guilavogui, Ismaël Diomandé que tous les autres coéquipiers. Avec Abameyang, ça passe plus parce que je suis au service de l'attaque. Et lui est attaquant. Mieux, il y a son père qui est toujours avec nous, il nous prodigue de sages conseils.
Entretien réalisé par M.G
Vous n'avez pas hésité à vous rendre dans le pays profond (Bouaflé), malgré toutes les difficultés que cela comporte (ndlr: mauvais état des routes et des pistes). Comment peut-on expliquer cette disponibilité?
Tout d'abord, on est venu là, parce qu'on nous a sollicités. Ensuite, on a imaginé la joie que notre présence allait procurer à toutes ces personnes qui n'ont pas toujours l'opportunité de nous voir de près. J'étais content de les voir heureux en nous voyant. C'est ce qu'on peut faire pour eux. On est prêt à refaire ce genre d'action pour leur montrer qu'on pense à eux autant qu'ils pensent à nous. C'est une manière de leur dire merci pour le soutien qu'ils nous témoignent.
La plupart des jeunes veulent vous ressembler. Là-dessus, vous vous sentez investi d'une grande responsabilité?
Nous sommes des ambassadeurs. Qu'on le veuille ou pas, nous sommes des exemples. Il nous appartient de montrer le bon chemin en faisant ce genre d'actions. C'est la preuve qu'on pense à tout le monde.
Comment vivez-vous cette longue absence chez les Eléphants?
Sincèrement, c'était très difficile au départ. Avec le temps, on comprend. On en profite aussi pour se reposer, pour recharger les batteries. Ce genre de blessure, ça n'arrive pas toujours. J'en profite, je me repose bien. J'espère revenir plus fort.
En club, sans vous, Saint-Etienne a remporté la Coupe de la Ligue et terminé à la 5ème place de Ligue 1. Vous vous contentez de ce bilan ou bien il y a plutôt un peu de regret?
Mon absence en club s'est fait sentir. C'était difficile au départ de vivre cela. Après, mes coéquipiers ont fait le nécessaire. Nous avons remporté un trophée. C'est très positif, car ce n'était pas dans les objectifs du club en début de saison. En Championnat, on a fait mieux que la saison dernière. On a travaillé dur pour y arriver. La saison prochaine, on va se remettre au boulot. On espère qu'on fera mieux que cette année.
Voilà, deux ans que vous avez quitté l'Angleterre. Envisagez-vous de rejoindre la Premier League, ce championnat considéré comme le plus "hot" de la planète foot?
Je ne suis pas obnubilé par un retour en Angleterre. Le plus important, c'est d'être dans un bon club et gagner des titres. Peu importe le championnat. Si j'avance et j'évolue, c'est le plus important. L'Angleterre, c'est un pays que j'ai aimé. Pourquoi je ne retournerai pas?
A Saint-Etienne, vous entretenez des liens très étroits avec Aubameyang. C'est quoi l'histoire de cette complicité?
Aubameyang est comme un petit frère pour moi. Il est Gabonais, donc un Africain au même titre que moi. On s'entend super bien. Mais, je m'entends avec tout le monde. Aussi bien avec Guilavogui, Ismaël Diomandé que tous les autres coéquipiers. Avec Abameyang, ça passe plus parce que je suis au service de l'attaque. Et lui est attaquant. Mieux, il y a son père qui est toujours avec nous, il nous prodigue de sages conseils.
Entretien réalisé par M.G