Yamoussoukro – L’atelier sur l’opération d’identification des acheteurs et des magasins de stockage de noix de cajou, organisé jeudi à Yamoussoukro, fait d’importantes recommandations pour mettre de l’ordre dans la filière anacarde.
Au niveau du guide, l’atelier recommande de définir tous les concepts figurant dans ce guide notamment les pisteurs, les grossistes, les semi-grossistes et les coopératives. Relativement à la codification, il suggère d’en étendre le système à toutes les régions même celles non productrices de l’anacarde dans la mesure où les acheteurs et les magasins pourraient se situer partout en Côte d’Ivoire.
L'atelier recommande de pousser la réflexion sur le système de codification des acteurs et de suggérer au ministère de l’Agriculture de s’approprier, à terme, le système de codification afin de mettre en place un standard unique pour toutes les filières agricoles. En outre, pour ce qui est des zones d’identification, il propose d'intégrer les départements omis sur la liste.
Concernant les fiches d’identification, l’atelier préconise de fournir le maximum d’informations sur les questions ouvertes et les réponses attendues pour éviter des interprétations divergentes, d’étendre l’opération d’identification aux transformateurs de noix de cajou compte tenu de leur nombre restreint.
Pour ce qui est du mode opératoire, il prône l’examen de la possibilité d’associer les préfets de départements à la réunion de lancement au chef lieu de région, de composer les équipes de recensement ANADER et ministère de l’Agriculture (MINAGRA), à raison de deux agents par département, de prévoir une phase pilote de l’opération afin de tester les fiches d’enquêtes.
Enfin, l’atelier exhorte de lancer l’opération d’identification et de former les agents d’identification simultanément dans les chefs-lieux de région conformément au programme validé et sous réserve de la prise en charge des agents retenus pour la formation.
Cet atelier a été présidé par le DG des Productions et de la Sécurité alimentaire, Soumaïla Bredoumi, représentant le ministre de l’Agriculture, rappelle-t-on.
(Aip)
zgrp/kkp/cmas
Au niveau du guide, l’atelier recommande de définir tous les concepts figurant dans ce guide notamment les pisteurs, les grossistes, les semi-grossistes et les coopératives. Relativement à la codification, il suggère d’en étendre le système à toutes les régions même celles non productrices de l’anacarde dans la mesure où les acheteurs et les magasins pourraient se situer partout en Côte d’Ivoire.
L'atelier recommande de pousser la réflexion sur le système de codification des acteurs et de suggérer au ministère de l’Agriculture de s’approprier, à terme, le système de codification afin de mettre en place un standard unique pour toutes les filières agricoles. En outre, pour ce qui est des zones d’identification, il propose d'intégrer les départements omis sur la liste.
Concernant les fiches d’identification, l’atelier préconise de fournir le maximum d’informations sur les questions ouvertes et les réponses attendues pour éviter des interprétations divergentes, d’étendre l’opération d’identification aux transformateurs de noix de cajou compte tenu de leur nombre restreint.
Pour ce qui est du mode opératoire, il prône l’examen de la possibilité d’associer les préfets de départements à la réunion de lancement au chef lieu de région, de composer les équipes de recensement ANADER et ministère de l’Agriculture (MINAGRA), à raison de deux agents par département, de prévoir une phase pilote de l’opération afin de tester les fiches d’enquêtes.
Enfin, l’atelier exhorte de lancer l’opération d’identification et de former les agents d’identification simultanément dans les chefs-lieux de région conformément au programme validé et sous réserve de la prise en charge des agents retenus pour la formation.
Cet atelier a été présidé par le DG des Productions et de la Sécurité alimentaire, Soumaïla Bredoumi, représentant le ministre de l’Agriculture, rappelle-t-on.
(Aip)
zgrp/kkp/cmas