Yamoussoukro - Les présumés auteurs de l’attaque de la Basilique Notre Dame de la Paix de Yamoussoukro dans la nuit du samedi au dimanche ont été appréhendés et déférés au tribunal de Toumodi, a appris l’Aip auprès du commissaire Félix Bléa, mardi.
Ce vol, selon une analyse du commissaire Bléa, ressemble fort bien à un règlement de compte car ces sinistres individus sont d’anciens employés de l’institution qui reprocheraient à leur ex-employeur des droits de licenciement mal évalués et donc insuffisants et non payés pour certains. Pour ce faire, ils auraient décidé de regler son compte à l’institution qui les employait auparavant.
"Ces bandits répondent aux noms de Makolino Ange Georges, Assoiloui Konan Maxime, Kouassi Kouamé Vincent et Koffi Kouadio Vincent. Ils ont été appréhendés et déférés ce mardi devant le tribunal de Toumodi pour y répondre de leur acte", a déclaré le commissaire.
Selon le commissaire Bléa, les malfrats n’ont emporté de la Basilique que des objets dorés qu’ils ont pris pour de l’or massif. Il s’agit notamment de décorations dorées de la croix de procession, du couvercle doré de l’ostensoir, d’un encenseur doré, de deux ciboires contenant le Saint sacrement et d’une somme de 500 000 FCFA contenue dans une enveloppe.
Par ailleurs, ils ont tenté de décrocher le grand crucifix doré surplombant l’autel au sein de la Basilique, croyant avoir affaire à un objet en or massif. Leurs tentatives de décrocher ce crucifix se sont avérées vaines, les cordes le supportant étant capables de porter plus de 300 kg ont résisté aux différents assauts des malfaiteurs qui se sont donc contentés de démonter des boules ornementales dorées sur l’objet sacré.
« Tous ces objets emportés ne sont pas encore retrouvés », précise le commissaire Bléa qui salue par ailleurs le professionnalisme du « jeune commissaire Bakayoko de la préfecture de police de Yamoussoukro » qui a eu une précieuse collaboration dans l’opération.
Dans la nuit de samedi à dimanche, ces individus se sont introduits dans la Basilique Notre Dame de la Paix de Yamoussoukro, propriété de l’Etat du Vatican, en passant par des tunnels d’accès qu’ils connaissent bien pour avoir travaillé dans cette institution. Ils visaient des cibles bien répertoriées auxquelles ils n’ont pu heureusement accéder.
Ce vol, selon une analyse du commissaire Bléa, ressemble fort bien à un règlement de compte car ces sinistres individus sont d’anciens employés de l’institution qui reprocheraient à leur ex-employeur des droits de licenciement mal évalués et donc insuffisants et non payés pour certains. Pour ce faire, ils auraient décidé de regler son compte à l’institution qui les employait auparavant.
"Ces bandits répondent aux noms de Makolino Ange Georges, Assoiloui Konan Maxime, Kouassi Kouamé Vincent et Koffi Kouadio Vincent. Ils ont été appréhendés et déférés ce mardi devant le tribunal de Toumodi pour y répondre de leur acte", a déclaré le commissaire.
Selon le commissaire Bléa, les malfrats n’ont emporté de la Basilique que des objets dorés qu’ils ont pris pour de l’or massif. Il s’agit notamment de décorations dorées de la croix de procession, du couvercle doré de l’ostensoir, d’un encenseur doré, de deux ciboires contenant le Saint sacrement et d’une somme de 500 000 FCFA contenue dans une enveloppe.
Par ailleurs, ils ont tenté de décrocher le grand crucifix doré surplombant l’autel au sein de la Basilique, croyant avoir affaire à un objet en or massif. Leurs tentatives de décrocher ce crucifix se sont avérées vaines, les cordes le supportant étant capables de porter plus de 300 kg ont résisté aux différents assauts des malfaiteurs qui se sont donc contentés de démonter des boules ornementales dorées sur l’objet sacré.
« Tous ces objets emportés ne sont pas encore retrouvés », précise le commissaire Bléa qui salue par ailleurs le professionnalisme du « jeune commissaire Bakayoko de la préfecture de police de Yamoussoukro » qui a eu une précieuse collaboration dans l’opération.
Dans la nuit de samedi à dimanche, ces individus se sont introduits dans la Basilique Notre Dame de la Paix de Yamoussoukro, propriété de l’Etat du Vatican, en passant par des tunnels d’accès qu’ils connaissent bien pour avoir travaillé dans cette institution. Ils visaient des cibles bien répertoriées auxquelles ils n’ont pu heureusement accéder.
