Le président américain, Barack Obama, entame ce jeudi, sa seconde visite en Afrique subsaharienne où, en plus des échanges commerciaux et des investissements supplémentaires des Etats-Unis, il va évoquer avec les dirigeants du Sénégal, de l’Afrique du Sud et de la Tanzanie, le renforcement des institutions démocratiques sur le continent.
Le conseiller adjoint à la sécurité nationale des Etats-Unis, Ben Rhodes, indique dans son interview du 23 juin que l’Afrique est "l’une des plus importantes régions émergentes du monde", mais ce continent mérite, à l’en croire, un renforcement de la démocratie pour un vrai décollage de la croissance économique.
"C’est un point critique pour la croissance économique africaine, car lorsque les règles du jeu sont claires et qu’on lutte contre la corruption, les entreprises investissent, des emplois sont créés et la croissance décolle", a-t-il soutenu dans les Nouvelles de l’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire dont l’AIP a reçu une copie.
Selon M. Rhodes, l’Afrique subsaharienne est "une zone au potentiel extraordinaire" qui a besoin d’échanges et de croissance économique avec des Etats comme les Etats-Unis, afin de pouvoir se donner les moyens d’accroître sa prospérité.
"Les éléments qui déclencheront vraiment une croissance sur le continent ne sont pas les programmes d’aide, en soi, ce sont plutôt les types de partenariats que nous cherchons à établir dans des domaines comme la sécurité alimentaire, par exemple, et qui favorisent la croissance économique, qui offrent sur une base plus large la possibilité de sortir de l’état de pauvreté, qui améliorent les échanges non seulement entre l’Afrique et les Etats-Unis, mais également entre les Etats africains et à l’échelle du continent", a souligné M. Rhodes.
Au Sénégal, a indiqué le conseiller adjoint à la sécurité nationale, le président Obama devrait visiter l’île de Gorée et son musée, avant d’assister à une rencontre sur la sécurité alimentaire au cours de laquelle seront présentées des technologies utilisées pour améliorer la capacité du secteur agricole des pays africains à répondre aux besoins de leur peuple.
En Afrique du Sud, le président américain ira à la rencontre de jeunes africains lors d’un forum de discussion publique à l’université de Johannesburg et visitera un centre communautaire avec l’archevêque Desmond Tutu et l’île de Robben où l’ancien président de l’Afrique du Sud, Nelson Mandela, et d’autres leaders anti-apartheid furent emprisonnés.
Lors de l’étape de Tanzanie, Barack Obama visitera la centrale électrique d’Ubungo et parlera du soutien des Etats-Unis à la croissance économique africaine.
Il visitera également le mémorial de l’attentat terroriste perpétré en 1998 contre l’ambassade des Etats-Unis à Dar-es-Salaam, a annoncé M. Rhodes dans son interview à laquelle le directeur principal pour les affaires africaines à la Maison-Blanche, Grant Harris, et la directrice principale pour le développement et la démocratie à la Maison-Blanche, Gayle Smith, ont participé.
Le conseiller adjoint à la sécurité nationale des Etats-Unis, Ben Rhodes, indique dans son interview du 23 juin que l’Afrique est "l’une des plus importantes régions émergentes du monde", mais ce continent mérite, à l’en croire, un renforcement de la démocratie pour un vrai décollage de la croissance économique.
"C’est un point critique pour la croissance économique africaine, car lorsque les règles du jeu sont claires et qu’on lutte contre la corruption, les entreprises investissent, des emplois sont créés et la croissance décolle", a-t-il soutenu dans les Nouvelles de l’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire dont l’AIP a reçu une copie.
Selon M. Rhodes, l’Afrique subsaharienne est "une zone au potentiel extraordinaire" qui a besoin d’échanges et de croissance économique avec des Etats comme les Etats-Unis, afin de pouvoir se donner les moyens d’accroître sa prospérité.
"Les éléments qui déclencheront vraiment une croissance sur le continent ne sont pas les programmes d’aide, en soi, ce sont plutôt les types de partenariats que nous cherchons à établir dans des domaines comme la sécurité alimentaire, par exemple, et qui favorisent la croissance économique, qui offrent sur une base plus large la possibilité de sortir de l’état de pauvreté, qui améliorent les échanges non seulement entre l’Afrique et les Etats-Unis, mais également entre les Etats africains et à l’échelle du continent", a souligné M. Rhodes.
Au Sénégal, a indiqué le conseiller adjoint à la sécurité nationale, le président Obama devrait visiter l’île de Gorée et son musée, avant d’assister à une rencontre sur la sécurité alimentaire au cours de laquelle seront présentées des technologies utilisées pour améliorer la capacité du secteur agricole des pays africains à répondre aux besoins de leur peuple.
En Afrique du Sud, le président américain ira à la rencontre de jeunes africains lors d’un forum de discussion publique à l’université de Johannesburg et visitera un centre communautaire avec l’archevêque Desmond Tutu et l’île de Robben où l’ancien président de l’Afrique du Sud, Nelson Mandela, et d’autres leaders anti-apartheid furent emprisonnés.
Lors de l’étape de Tanzanie, Barack Obama visitera la centrale électrique d’Ubungo et parlera du soutien des Etats-Unis à la croissance économique africaine.
Il visitera également le mémorial de l’attentat terroriste perpétré en 1998 contre l’ambassade des Etats-Unis à Dar-es-Salaam, a annoncé M. Rhodes dans son interview à laquelle le directeur principal pour les affaires africaines à la Maison-Blanche, Grant Harris, et la directrice principale pour le développement et la démocratie à la Maison-Blanche, Gayle Smith, ont participé.