Le président américain Barack Obama a promis samedi dernier de prolonger l’African Growth and Opportunity Act (AGOA), qui permet à certains pays d’Afrique subsaharienne d’exporter des produits sans droits de douane vers les Etats-Unis.
Il a fait cette promesse lors d’une conférence de presse télévisée après que son homologue sud-africain Jacob Zuma a demandé aux Etats-Unis de prolonger l’AGOA, qui expire en 2015.
"Le commerce entre l’Afrique et les Etats-Unis a atteint les niveaux d’avant la récession mondiale, en grande partie grâce à l’AGOA", a déclaré M. Zuma.
M. Obama a annoncé qu’il soutenait les efforts pour améliorer et renouveler l’AGOA et qu’il devrait dans un premier temps convaincre le Congrès américain d’approuver le renouvellement.
Avant la conférence de presse, les deux présidents se sont entretenus sur une foule de sujets, parmi lesquels l’AGOA, un système d’accès préférentiel aux marchés de certains pays d’Afrique et des Caraïbes octroyé par les Etats-Unis.
Les deux présidents ont réaffirmé leur engagement partagé envers le renforcement de la gouvernance démocratique et les progrès en matière de protection des droits de l’Homme sur le continent.
"Vous visitez l’Afrique au bon moment. L’Afrique s’élève", a observé M. Zuma.
"Nous sommes heureux de travailler avec vous aujourd’hui vers un but commun d’expansion des relations commerciales entre nos deux pays. Nous sommes en substance en train de passer du désengagement au réengagement, dans une ère de liberté et de démocratie".
M. Obama s’est également engagé à augmenter le commerce avec l’Afrique et compte renégocier un pacte commercial avec l’Afrique afin de le rendre plus intéressant pour les entreprises américaines.
Il a affirmé qu’il était ouvert à la concurrence commerciale des autres pays qui se battent dur pour saisir des opportunités commerciales en Afrique, à l’instar de la Chine.
"Mon seul conseil, c’est de s’assurer que l’Afrique y trouve son compte".
Le président des Etats-Unis a débarqué vendredi dernier en Afrique du Sud pour une visite officielle de trois jours. Il s’agit de sa seconde visite dans le pays, mais de la première en tant que président. Il venait du Sénégal, et sa tournée en Afrique doit ensuite l’emmener en Tanzanie.
Il a fait cette promesse lors d’une conférence de presse télévisée après que son homologue sud-africain Jacob Zuma a demandé aux Etats-Unis de prolonger l’AGOA, qui expire en 2015.
"Le commerce entre l’Afrique et les Etats-Unis a atteint les niveaux d’avant la récession mondiale, en grande partie grâce à l’AGOA", a déclaré M. Zuma.
M. Obama a annoncé qu’il soutenait les efforts pour améliorer et renouveler l’AGOA et qu’il devrait dans un premier temps convaincre le Congrès américain d’approuver le renouvellement.
Avant la conférence de presse, les deux présidents se sont entretenus sur une foule de sujets, parmi lesquels l’AGOA, un système d’accès préférentiel aux marchés de certains pays d’Afrique et des Caraïbes octroyé par les Etats-Unis.
Les deux présidents ont réaffirmé leur engagement partagé envers le renforcement de la gouvernance démocratique et les progrès en matière de protection des droits de l’Homme sur le continent.
"Vous visitez l’Afrique au bon moment. L’Afrique s’élève", a observé M. Zuma.
"Nous sommes heureux de travailler avec vous aujourd’hui vers un but commun d’expansion des relations commerciales entre nos deux pays. Nous sommes en substance en train de passer du désengagement au réengagement, dans une ère de liberté et de démocratie".
M. Obama s’est également engagé à augmenter le commerce avec l’Afrique et compte renégocier un pacte commercial avec l’Afrique afin de le rendre plus intéressant pour les entreprises américaines.
Il a affirmé qu’il était ouvert à la concurrence commerciale des autres pays qui se battent dur pour saisir des opportunités commerciales en Afrique, à l’instar de la Chine.
"Mon seul conseil, c’est de s’assurer que l’Afrique y trouve son compte".
Le président des Etats-Unis a débarqué vendredi dernier en Afrique du Sud pour une visite officielle de trois jours. Il s’agit de sa seconde visite dans le pays, mais de la première en tant que président. Il venait du Sénégal, et sa tournée en Afrique doit ensuite l’emmener en Tanzanie.