La commune de Duékoué a un nouveau. C’est le Dr Jean Glaou Taï, le candidat du RDR aux dernières élections municipales. Dans cette interview, le nouveau magistrat de la ville carrefour de l’Ouest explique comment il a remporté de haute lutte la mairie et explique ses ambitions pour Duékoué. Entretien.
Le Patriote : Vous avez été brillamment élu à tête de la municipalité de Duékoué. Comment avez-vous réussi à relever ce défi ?
Jean Taï Glaou : Si défi peut y avoir, il faut dire que cela est en grande partie due à la qualité de l’équipe qui m’a entouré au cours de la campagne passée. J’ai demandé à tout le monde de ne pas agresser quelqu’un au cours de cette campagne et de s’inscrire dans la philosophie du chef de l’Etat qui, au cours de la dernière campagne présidentielle, n’a agressé personne. Pendant que nos adversaires s’attelaient à nous insulter, nous avons axé notre campagne autour des éléments essentiels du programme du chef de l’Etat que sont l’eau, la santé, la voirie, l’école et l’emploi des jeunes. Ce sont des problèmes qui sont récurrents dans la commune et qui sont les préoccupations de nos parents. Nous nous sommes donné les moyens de leur expliquer ce que nous comptons faire ensemble pour résoudre ces problèmes si nous sommes élus. Parce que, pour nous, le développement de la commune de Duékoué n’est pas une affaire d’individu, mais de tout le monde. Mais nous leur avons surtout expliqué que pour y arriver, il faut qu’il y ait la paix et la sécurité. Car sans paix et sécurité, le développement n’est pas possible.
LP : M. le maire, maintenant que vous êtes élu, comment comptez-vous répondre aux attentes des populations de Duékoué ?
JTG : Il est vrai que les attentes sont énormes. Mais j’ai des idées et l’Etat nous aidera. Nous trouverons des solutions pour améliorer nos ressources et assainir les finances de la mairie. A ce sujet, nous avons notre petite idée quant à la vente des tickets. Nous allons dans ce domaine essayer d’informatiser les choses. Au niveau des ODP, nous allons identifier tous les cas d’occupations du domaine public pour mieux réglementer les choses. Pour les recouvrements et les opérateurs économiques, nous allons les recenser. Quant au foncier, nous allons mettre en place un fichier pour mieux contrôler le foncier de la ville.
LP : Quelles sont aujourd’hui, vos priorités pour le développement de la ville ?
JTG : Pour nous à Duékoué presque tout est prioritaire. Mais nous allons mettre surtout l’accent sur l’électricité, la voirie, la santé, l’école et l’emploi des jeunes. Pour réussir ces défis, nous allons essayer d’imaginer de nouvelles ressources, consulter les partenaires au développement dont beaucoup sont prêts à nous aider. Nous avons rencontré, il n’y a pas trop longtemps, l’USAID à qui nous avons déjà proposé un projet. Nous avons été reçu par Phillip Carter III. Et nous croyons que ce projet d’ici peu sera lancé.
LP : Nous savons que votre candidature n’a pas fait l’unanimité au sein du RDR à Duékoué. Maintenant que vous êtes élu maire, comment comptez-vous rassembler la grande famille des Républicains de Duékoué ?
JTG : Déjà, au soir de notre victoire, nous avons lancé un message d’espoir à tout le monde. Nous avions dit au cours de notre de discours que le seul vainqueur, c’est le RDR. Ce n’est pas le Dr Jean Glaou Taï. Je voudrais dire encore que je tends la main à tout le monde. Car, pour le développement de Duékoué, je suis prêt à faire tous les sacrifices. Duékoué a besoin d’unité. Il faut que nous soyons unis pour redorer l’image de Duékoué qui a beaucoup souffert. Au-delà de tous les problèmes vécus par la population, il faut créer un cadre à Duékoué qui puisse présenter la ville autrement au reste du monde. Nous avons décidé de le faire au plan culturel, source de rapprochement des peuples. C’est pourquoi j’ai demandé aux autorités m’aider à créer un festival annuel dénommé « Duékoué : carrefour de cultures croisés ». Histoire de vendre une image positive de Duékoué à l’extérieur. Pour cela, nous comptons sur le ministère de la Culture et de la Francophonie pour nous aider. Car ce projet, s’il est bien exécuté, peut être source de création d’emplois pour les jeunes de la ville. Pour terminer, je voudrais dire aux populations qu’ensemble, nous allons faire beaucoup de belles choses. Qu’elles continuent de nous faire confiance. Car, moi, je n’ai pas le droit de les décevoir. Que nos parents continuent de prier pour Duékoué et la Côte d’Ivoire. Qu’ils soient rassurés et continuent d’œuvrer pour la paix pour que Duékoué puisse retrouver son lustre d’antan.
Réalisée par JCC
Le Patriote : Vous avez été brillamment élu à tête de la municipalité de Duékoué. Comment avez-vous réussi à relever ce défi ?
Jean Taï Glaou : Si défi peut y avoir, il faut dire que cela est en grande partie due à la qualité de l’équipe qui m’a entouré au cours de la campagne passée. J’ai demandé à tout le monde de ne pas agresser quelqu’un au cours de cette campagne et de s’inscrire dans la philosophie du chef de l’Etat qui, au cours de la dernière campagne présidentielle, n’a agressé personne. Pendant que nos adversaires s’attelaient à nous insulter, nous avons axé notre campagne autour des éléments essentiels du programme du chef de l’Etat que sont l’eau, la santé, la voirie, l’école et l’emploi des jeunes. Ce sont des problèmes qui sont récurrents dans la commune et qui sont les préoccupations de nos parents. Nous nous sommes donné les moyens de leur expliquer ce que nous comptons faire ensemble pour résoudre ces problèmes si nous sommes élus. Parce que, pour nous, le développement de la commune de Duékoué n’est pas une affaire d’individu, mais de tout le monde. Mais nous leur avons surtout expliqué que pour y arriver, il faut qu’il y ait la paix et la sécurité. Car sans paix et sécurité, le développement n’est pas possible.
LP : M. le maire, maintenant que vous êtes élu, comment comptez-vous répondre aux attentes des populations de Duékoué ?
JTG : Il est vrai que les attentes sont énormes. Mais j’ai des idées et l’Etat nous aidera. Nous trouverons des solutions pour améliorer nos ressources et assainir les finances de la mairie. A ce sujet, nous avons notre petite idée quant à la vente des tickets. Nous allons dans ce domaine essayer d’informatiser les choses. Au niveau des ODP, nous allons identifier tous les cas d’occupations du domaine public pour mieux réglementer les choses. Pour les recouvrements et les opérateurs économiques, nous allons les recenser. Quant au foncier, nous allons mettre en place un fichier pour mieux contrôler le foncier de la ville.
LP : Quelles sont aujourd’hui, vos priorités pour le développement de la ville ?
JTG : Pour nous à Duékoué presque tout est prioritaire. Mais nous allons mettre surtout l’accent sur l’électricité, la voirie, la santé, l’école et l’emploi des jeunes. Pour réussir ces défis, nous allons essayer d’imaginer de nouvelles ressources, consulter les partenaires au développement dont beaucoup sont prêts à nous aider. Nous avons rencontré, il n’y a pas trop longtemps, l’USAID à qui nous avons déjà proposé un projet. Nous avons été reçu par Phillip Carter III. Et nous croyons que ce projet d’ici peu sera lancé.
LP : Nous savons que votre candidature n’a pas fait l’unanimité au sein du RDR à Duékoué. Maintenant que vous êtes élu maire, comment comptez-vous rassembler la grande famille des Républicains de Duékoué ?
JTG : Déjà, au soir de notre victoire, nous avons lancé un message d’espoir à tout le monde. Nous avions dit au cours de notre de discours que le seul vainqueur, c’est le RDR. Ce n’est pas le Dr Jean Glaou Taï. Je voudrais dire encore que je tends la main à tout le monde. Car, pour le développement de Duékoué, je suis prêt à faire tous les sacrifices. Duékoué a besoin d’unité. Il faut que nous soyons unis pour redorer l’image de Duékoué qui a beaucoup souffert. Au-delà de tous les problèmes vécus par la population, il faut créer un cadre à Duékoué qui puisse présenter la ville autrement au reste du monde. Nous avons décidé de le faire au plan culturel, source de rapprochement des peuples. C’est pourquoi j’ai demandé aux autorités m’aider à créer un festival annuel dénommé « Duékoué : carrefour de cultures croisés ». Histoire de vendre une image positive de Duékoué à l’extérieur. Pour cela, nous comptons sur le ministère de la Culture et de la Francophonie pour nous aider. Car ce projet, s’il est bien exécuté, peut être source de création d’emplois pour les jeunes de la ville. Pour terminer, je voudrais dire aux populations qu’ensemble, nous allons faire beaucoup de belles choses. Qu’elles continuent de nous faire confiance. Car, moi, je n’ai pas le droit de les décevoir. Que nos parents continuent de prier pour Duékoué et la Côte d’Ivoire. Qu’ils soient rassurés et continuent d’œuvrer pour la paix pour que Duékoué puisse retrouver son lustre d’antan.
Réalisée par JCC
