ABIDJAN - Le gouverneur du district autonome d’Abidjan, Robert Beugré Mambé, séjourne en Chine où il prend part à la 2ème édition du Forum sur la coopération sino- africaine des gouvernements locaux à Jinan dans la province du Shandong, apprend-on vendredi du district d’Abidjan.
Selon une note d’information du district d’Abidjan, le gouverneur Robert Beugré Mambé a prononcé vendredi, au nom de ses pairs africains, un discours pour donner sa "vision du futur" dans les relations avec la Chine, à l’ouverture de la rencontre.
"La Chine est pour l’Afrique et les Africains un bel exemple car, en moins de trois décennies, le peuple chinois a surmonté toutes les difficultés pour se hisser à une position de pivot mondial avec qui toutes les civilisations et toutes les puissances coopèrent très étroitement dans plusieurs domaines", a souligné M. Mambé cité par la note d’information.
L’Afrique souhaite une "coopération gagnant-gagnant dans laquelle celui qui donne reçoit et celui qui reçoit donne de manière à consolider les liens entre nos deux grandes communautés", a-t-il poursuivi.
"L’Afrique se reconnaît en toutes les valeurs humaines universelles et, avec la Chine, tout en préservant ses amitiés séculaires avec les autres pays du monde, l’Afrique voudrait bâtir un avenir fort et stable qui augure une ère nouvelle pour les générations futures dans le respect mutuel de nos spécificités", a- t-il encore déclaré.
Robert Beugré Mambé a estimé que la Chine est "l’un des meilleurs catalyseurs de la croissance africaine" et l’un des plus grands partenaires commerciaux de l’Afrique avec des investissements dans plus de 50 pays africains.
Le gouverneur du district d’Abidjan a relevé les "richesses immenses" de l’Afrique et indiqué que le continent "continue de se développer malgré quelques obstacles" tout en offrant au monde " des voies d’espérance et des solutions au ralentissement généralisé de la croissance".
Pour lui, la Chine et l’Afrique doivent coopérer dans "un climat de confiance mutuelle" en vue de générer des avantages réciproques à travers les opportunités de "coopération multiforme et multidimensionnelle".
Selon M. Mambé, les aspects les plus importants de cette coopération doivent être la mise en oeuvre d’un système de partenariat public-privé, la création de sociétés en joint-venture, la coopération entre les régions, l’accès aux financements à long terme et à des taux concessionnels, le transfert de technologies mais également des "réunions constantes" pour évaluer le dynamisme de cette coopération et apporter les solutions idoines.
La première rencontre sino-africaine des gouvernements locaux s’est tenue en août 2012 et a posé les points d’ancrages de la coopération décentralisée entre les deux parties.
Selon une note d’information du district d’Abidjan, le gouverneur Robert Beugré Mambé a prononcé vendredi, au nom de ses pairs africains, un discours pour donner sa "vision du futur" dans les relations avec la Chine, à l’ouverture de la rencontre.
"La Chine est pour l’Afrique et les Africains un bel exemple car, en moins de trois décennies, le peuple chinois a surmonté toutes les difficultés pour se hisser à une position de pivot mondial avec qui toutes les civilisations et toutes les puissances coopèrent très étroitement dans plusieurs domaines", a souligné M. Mambé cité par la note d’information.
L’Afrique souhaite une "coopération gagnant-gagnant dans laquelle celui qui donne reçoit et celui qui reçoit donne de manière à consolider les liens entre nos deux grandes communautés", a-t-il poursuivi.
"L’Afrique se reconnaît en toutes les valeurs humaines universelles et, avec la Chine, tout en préservant ses amitiés séculaires avec les autres pays du monde, l’Afrique voudrait bâtir un avenir fort et stable qui augure une ère nouvelle pour les générations futures dans le respect mutuel de nos spécificités", a- t-il encore déclaré.
Robert Beugré Mambé a estimé que la Chine est "l’un des meilleurs catalyseurs de la croissance africaine" et l’un des plus grands partenaires commerciaux de l’Afrique avec des investissements dans plus de 50 pays africains.
Le gouverneur du district d’Abidjan a relevé les "richesses immenses" de l’Afrique et indiqué que le continent "continue de se développer malgré quelques obstacles" tout en offrant au monde " des voies d’espérance et des solutions au ralentissement généralisé de la croissance".
Pour lui, la Chine et l’Afrique doivent coopérer dans "un climat de confiance mutuelle" en vue de générer des avantages réciproques à travers les opportunités de "coopération multiforme et multidimensionnelle".
Selon M. Mambé, les aspects les plus importants de cette coopération doivent être la mise en oeuvre d’un système de partenariat public-privé, la création de sociétés en joint-venture, la coopération entre les régions, l’accès aux financements à long terme et à des taux concessionnels, le transfert de technologies mais également des "réunions constantes" pour évaluer le dynamisme de cette coopération et apporter les solutions idoines.
La première rencontre sino-africaine des gouvernements locaux s’est tenue en août 2012 et a posé les points d’ancrages de la coopération décentralisée entre les deux parties.