ABIDJAN - Une vaste opération de reboisement a démarré jeudi à Bocanda (centre) en vue de freiner la désertification qui menace le pays, a constaté jeudi Xinhua.
Selon des autorités forestières, il s'agit d'une action de planting d'arbres d'envergure visant à reconstituer le couvert forestier.
"Pour gagner le pari de redonner au pays son statut forestier, des actions concrètes ont été initiées, dont la promotion du reboisement populaire", a expliqué le capitaine des Eaux et Forêts Konan Kouakou.
Celui-ci s'est réjoui de l'adhésion et de l'implication des populations et rendu hommage aux structures dont notamment des Organisations non gouvernementales (ONG) qui s'investissent dans la reconstitution du couvert forestier ivoirien.
Selon des statistiques officielles, le niveau de dégradation des forêts classées ivoiriennes est passé de 25% en 1990 à plus de 40% aujourd'hui.
La désertification menace 70% de la population rurale avec plus de 110 000 hectares de plantations et 67 000 hectares de forêts dévastées par les sécheresses en Côte d'Ivoire.
La reforestation, la protection et la régénérescence des essences végétales constituent ainsi une préoccupation pour les autorités forestières du pays.
A plusieurs occasions, celles-ci ont invité les collectivités publiques, le secteur privé, les opérateurs de la filière bois, les ONG et les populations à s'impliquer dans ces opérations.
Selon elles, le reboisement qui constitue à la fois un investissement rentable et un rempart sûr contre la désertification et la dégradation des sols.
Selon des autorités forestières, il s'agit d'une action de planting d'arbres d'envergure visant à reconstituer le couvert forestier.
"Pour gagner le pari de redonner au pays son statut forestier, des actions concrètes ont été initiées, dont la promotion du reboisement populaire", a expliqué le capitaine des Eaux et Forêts Konan Kouakou.
Celui-ci s'est réjoui de l'adhésion et de l'implication des populations et rendu hommage aux structures dont notamment des Organisations non gouvernementales (ONG) qui s'investissent dans la reconstitution du couvert forestier ivoirien.
Selon des statistiques officielles, le niveau de dégradation des forêts classées ivoiriennes est passé de 25% en 1990 à plus de 40% aujourd'hui.
La désertification menace 70% de la population rurale avec plus de 110 000 hectares de plantations et 67 000 hectares de forêts dévastées par les sécheresses en Côte d'Ivoire.
La reforestation, la protection et la régénérescence des essences végétales constituent ainsi une préoccupation pour les autorités forestières du pays.
A plusieurs occasions, celles-ci ont invité les collectivités publiques, le secteur privé, les opérateurs de la filière bois, les ONG et les populations à s'impliquer dans ces opérations.
Selon elles, le reboisement qui constitue à la fois un investissement rentable et un rempart sûr contre la désertification et la dégradation des sols.