Ouédrago Tiembeogo et deux de ses compatriotes burkinabè sont soupçonnés d’avoir assassiné à coups de machette, le jeune Mahi G., la quarantaine bien sonnée, originaire de sériho, le vendredi 28 juin dernier dans sa rizière située à environ 1km du village. Le corps sans vie de l’infortuné qui présentait plusieurs ouvertures à la tête et sur les bras à été retrouvé à la lisière de son champ, le samedi 28 juin en début d’après midi après plusieurs heures de battue. Les meurtriers présumés qui, selon notre source, ont défié les populations autochtones en leur disant que rien se passerait après leur acte macabre, sont aux mains de la gendarmerie en attendant de connaître leur sort.
Notre source soutient qu’en début du mois de juin, le jeune Mahi a eu des échanges houleux avec les concernés qui sont des métayers dans la plantation d’hévéas de sa sœur aînée. Après la dispute, Mahi aurait demandé à son père de se séparer des manœuvres parce que, selon les informations reçues, Ouédraogo aurait fui un village de Gagnoa parce qu’il y aurait commis un meurtre. Les manœuvres n’ont pas été renvoyés et ils auraient lâchement tué le jeune Mahi, dans la fleur de l’âge, alors que rien ne présageait un tel acte.
Délon’s Zadé
Notre source soutient qu’en début du mois de juin, le jeune Mahi a eu des échanges houleux avec les concernés qui sont des métayers dans la plantation d’hévéas de sa sœur aînée. Après la dispute, Mahi aurait demandé à son père de se séparer des manœuvres parce que, selon les informations reçues, Ouédraogo aurait fui un village de Gagnoa parce qu’il y aurait commis un meurtre. Les manœuvres n’ont pas été renvoyés et ils auraient lâchement tué le jeune Mahi, dans la fleur de l’âge, alors que rien ne présageait un tel acte.
Délon’s Zadé