Dg, les agents ont faim, Dg, on sait ce que tu sais, les banquiers de Cnce souffrent, reclassement salarial 80% ici et maintenant». Telles sont les phrases que l’on pouvait lire sur les pancartes placardées sur la clôture de l’agence centrale de la Caisse d’épargne (Cnce) hier mercredi 10 juillet matin, au Plateau, où les agents de cette banque observent un arrêt de travail.
Célestine N’guessan, Secrétaire générale adjointe du Syndicat national des agents de la Caisse d’épargne, au nom du Secrétaire général, Emile Brou, a menacé d’aller en grève illimitée si dans 72 heures, leurs revendications n’étaient pas satisfaites. «S’il n’y a pas de suite, nous rentrons en grève illimitée.
Nous revendiquons un ajustement salarial promis depuis 2009. Il y a eu 20% payés en 2010. On devait payer 40% en janvier 2011 et 40% en janvier 2012, ce qui n’a pas été fait. Nous avons déposé un préavis de grève de trois jours, du mercredi 10 au vendredi 12 juillet.. Nous attendons qu’on nous paye ce que nous demandons. Nous nous adressons à notre directeur général, Mama Diabaté. On a négocié hier (Ndlr) de 17h à 24h.
On ne s’est pas entendu. Avant cela, nous avons adressé plusieurs courriers qui sont restés sans suite. On espère que nos revendications vont tomber dans des oreilles attentives. Et que nous aurons gain de cause», a-t-elle martelé.
SERGE AMANY
Célestine N’guessan, Secrétaire générale adjointe du Syndicat national des agents de la Caisse d’épargne, au nom du Secrétaire général, Emile Brou, a menacé d’aller en grève illimitée si dans 72 heures, leurs revendications n’étaient pas satisfaites. «S’il n’y a pas de suite, nous rentrons en grève illimitée.
Nous revendiquons un ajustement salarial promis depuis 2009. Il y a eu 20% payés en 2010. On devait payer 40% en janvier 2011 et 40% en janvier 2012, ce qui n’a pas été fait. Nous avons déposé un préavis de grève de trois jours, du mercredi 10 au vendredi 12 juillet.. Nous attendons qu’on nous paye ce que nous demandons. Nous nous adressons à notre directeur général, Mama Diabaté. On a négocié hier (Ndlr) de 17h à 24h.
On ne s’est pas entendu. Avant cela, nous avons adressé plusieurs courriers qui sont restés sans suite. On espère que nos revendications vont tomber dans des oreilles attentives. Et que nous aurons gain de cause», a-t-elle martelé.
SERGE AMANY