Quelque 124 Ivoiriens ayant trouvé refuge au Ghana et au Togo au plus fort de la crise postélectorale sont retournés au pays, a-t-on appris samedi dernier auprès du Service d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA).
Selon des responsables de cette structure, les réfugiés qui avaient l’envie de regagner la Côte d’Ivoire n’ont pas hésité à s’approprier l’opération de rapatriement volontaire. Plusieurs d’entre eux arrivés dans un camp de transit à Abidjan ont exprimé leur joie de retrouver leurs proches, leurs familles et leur terre natale. "Les conditions sont désormais réunies pour une meilleure vie dans le pays. Les réfugiés doivent répondre à l’appel du gouvernement, et rentrer pour participer au développement du pays", a soutenu le coordonnateur du SAARA, Timothée Ezouan.
Pour celui-ci, ce mouvement de retour d’une vague de réfugiés fait suite aux différents appels qui ont été lancés pour rassurer les exilés.
Suite à ces appels, plusieurs exilés ivoiriens majoritairement pro-Gbagbo ont rejoint la Côte d’Ivoire. Selon des statistiques, plus de 250.000 Ivoiriens s’étaient installés dans des pays de la sous-région, après qu’ils eurent fui le pays en raison du conflit armé postélectoral qui faisait rage entre pro-Gbagbo et pro-Ouattara. A ce jour, il reste environ 50 000 exilés ivoiriens dans les camps de réfugiés dans les pays limitrophes, après plusieurs vagues de rapatriement volontaire. A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a exhorté ses compatriotes exilés à l’extérieur à revenir pour prendre leur part dans le processus de réconciliation nationale et de reconstruction en cours dans le pays.
Selon des responsables de cette structure, les réfugiés qui avaient l’envie de regagner la Côte d’Ivoire n’ont pas hésité à s’approprier l’opération de rapatriement volontaire. Plusieurs d’entre eux arrivés dans un camp de transit à Abidjan ont exprimé leur joie de retrouver leurs proches, leurs familles et leur terre natale. "Les conditions sont désormais réunies pour une meilleure vie dans le pays. Les réfugiés doivent répondre à l’appel du gouvernement, et rentrer pour participer au développement du pays", a soutenu le coordonnateur du SAARA, Timothée Ezouan.
Pour celui-ci, ce mouvement de retour d’une vague de réfugiés fait suite aux différents appels qui ont été lancés pour rassurer les exilés.
Suite à ces appels, plusieurs exilés ivoiriens majoritairement pro-Gbagbo ont rejoint la Côte d’Ivoire. Selon des statistiques, plus de 250.000 Ivoiriens s’étaient installés dans des pays de la sous-région, après qu’ils eurent fui le pays en raison du conflit armé postélectoral qui faisait rage entre pro-Gbagbo et pro-Ouattara. A ce jour, il reste environ 50 000 exilés ivoiriens dans les camps de réfugiés dans les pays limitrophes, après plusieurs vagues de rapatriement volontaire. A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a exhorté ses compatriotes exilés à l’extérieur à revenir pour prendre leur part dans le processus de réconciliation nationale et de reconstruction en cours dans le pays.