Abidjan (Côte d’Ivoire)
La procureure de la Cour pénale internationale, (CPI), Fatou Bensouda, est arrivée vendredi à Abidjan dans le cadre d’une mission de ‘’complément d’enquête’’ pour la suite du procès de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
A son arrivée dans la capitale économique ivoirienne, Mme Bensouda, a déclaré être venue à Abidjan pour des ‘’compléments d’enquête’’ pour le procès de l’ex-Chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
Elle sera reçue le même jour par le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des droits de l’homme et des Libertés publiques, Gnénéma Coulibaly Mamadou.
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont demandé, le lundi 3 juin dernier, au procureur d’apporter des éléments de preuves additionnels avant de décider de mener un éventuel procès contre l’ancien président ivoirien.
Laurent Gbagbo est poursuivi par la CPI pour crimes contre l’humanité commis lors de la crise post- électorale ivoirienne qui a fait de décembre 2010 à avril 2011 plus de 3000 morts.
Cette crise est née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaitre sa défaite face à son adversaire, Alassane Ouattara à l’issue de la présidentielle du 28 novembre 2010.
La procureure de la Cour pénale internationale, (CPI), Fatou Bensouda, est arrivée vendredi à Abidjan dans le cadre d’une mission de ‘’complément d’enquête’’ pour la suite du procès de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
A son arrivée dans la capitale économique ivoirienne, Mme Bensouda, a déclaré être venue à Abidjan pour des ‘’compléments d’enquête’’ pour le procès de l’ex-Chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
Elle sera reçue le même jour par le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des droits de l’homme et des Libertés publiques, Gnénéma Coulibaly Mamadou.
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont demandé, le lundi 3 juin dernier, au procureur d’apporter des éléments de preuves additionnels avant de décider de mener un éventuel procès contre l’ancien président ivoirien.
Laurent Gbagbo est poursuivi par la CPI pour crimes contre l’humanité commis lors de la crise post- électorale ivoirienne qui a fait de décembre 2010 à avril 2011 plus de 3000 morts.
Cette crise est née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaitre sa défaite face à son adversaire, Alassane Ouattara à l’issue de la présidentielle du 28 novembre 2010.