Abidjan (Côte d’Ivoire) - La procureure de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda, a déclaré vendredi à Abidjan qu’elle travaille avec les autorités ivoiriennes sur le dossier de transfèrement de l’ex-Première Dame, Simone Ehivet Gbagbo à la Haye.
‘’Nous avons informé les autorités ivoiriennes que nous voudrions que Mme Gbagbo soit transférée à la Cour pénale internationale et nous travaillons avec les autorités ivoiriennes sur ce dossier’’, a déclaré Fatou Bensouda après une rencontre avec le Garde des Sceaux ivoirien, ministre de la Justice, des droits de l’homme et des Libertés publiques, Gnénéma Coulibaly Mamadou.
La CPI veut juger Simone Gbagbo pour "meurtres, viols, autres formes de violence sexuelle, autres actes inhumains et persécution" durant le conflit.
Les autorités ivoiriennes n’ont pas encore donné une réponse officielle à ce voeu de la CPI. Mme Gbagbo est détenue depuis avaril 2011 à Odienné, la métropole du Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire.
Bensouda a également dit être venue en Côte d’Ivoire pour obtenir plus d’information sur le dossier de l’ex-Président Laurent Gbagbo. La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) va séjourner pendant quelques jours en Côte d’Ivoire en vue de rassembler des preuves supplémentaires contre M. Gbagbo.
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont demandé, le lundi 3 juin dernier, au procureur d’apporter des éléments de preuves additionnels avant de décider de mener un éventuel procès contre l’ancien président ivoirien.
Laurent Gbagbo est poursuivi par la CPI pour crimes contre l’humanité commis lors de la crise post- électorale ivoirienne qui a fait de décembre 2010 à avril 2011 plus de 3000 morts.
Cette crise est née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite face à son adversaire, Alassane Ouattara à l’issue de la présidentielle du 28 novembre 2010.
‘’Nous avons informé les autorités ivoiriennes que nous voudrions que Mme Gbagbo soit transférée à la Cour pénale internationale et nous travaillons avec les autorités ivoiriennes sur ce dossier’’, a déclaré Fatou Bensouda après une rencontre avec le Garde des Sceaux ivoirien, ministre de la Justice, des droits de l’homme et des Libertés publiques, Gnénéma Coulibaly Mamadou.
La CPI veut juger Simone Gbagbo pour "meurtres, viols, autres formes de violence sexuelle, autres actes inhumains et persécution" durant le conflit.
Les autorités ivoiriennes n’ont pas encore donné une réponse officielle à ce voeu de la CPI. Mme Gbagbo est détenue depuis avaril 2011 à Odienné, la métropole du Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire.
Bensouda a également dit être venue en Côte d’Ivoire pour obtenir plus d’information sur le dossier de l’ex-Président Laurent Gbagbo. La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) va séjourner pendant quelques jours en Côte d’Ivoire en vue de rassembler des preuves supplémentaires contre M. Gbagbo.
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont demandé, le lundi 3 juin dernier, au procureur d’apporter des éléments de preuves additionnels avant de décider de mener un éventuel procès contre l’ancien président ivoirien.
Laurent Gbagbo est poursuivi par la CPI pour crimes contre l’humanité commis lors de la crise post- électorale ivoirienne qui a fait de décembre 2010 à avril 2011 plus de 3000 morts.
Cette crise est née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite face à son adversaire, Alassane Ouattara à l’issue de la présidentielle du 28 novembre 2010.